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Roxame

(to be translated and edited)

1. Principles

1.1. Les principes

Comment fonctionne Roxame ? En choisissant, progressivemnet, une suite de frmes. Des traits ou des surfaces : une ligne droite, un triangle, un rectangle, cercle ou ellipse, une région entière en bas ou en haut ou sur un côté de l’oeugfre. Si l’écran de l’ordianteur est allumé, on peut voir peu à peu la peintre se construire et s’affiner, jusqu’au moment où Roxame considère qu’elle a fini son travail, le sauvegarde sur disque et passe immédiatemnet à l’oeuvre suivante.

Chacune de ces formes est d’abord définie par une série de caractéristiques : position sur l’oeuvre, taille plus ou moins grande, proportion plus ou moins verticale ou horizontle, épaisseur du trait t surtout “style”, c’est à dire, en tous cas dans la version actuelle, essentiellement une façon de tirer les traits d’un point à un autre. C’est là, tout particulièremnet, que le hasard et la règle e marient pour chercher le meilleur entre deux extrêmes :

- la ligne, droite ou courbe, pure, mathématique, ausi raide et précise que le permet la précision de la machine (car vous remarquerrez toujours, en regardant de près, que les obliques sont un peu crénelées. Cela peut cependant être effacé dans des impressions papier un peu floues).

- un parcours au hasard dont, à la limite, on n’est même pas sûr qu’une fois lancé à partir d’un point il rejoindra l’autre.

Entre les deux, Roxame peut choisir entre plusieurs formules (algorithmes)  qui expriment une sorte d’incertitude sur le chemin à prendre, limitée par une orientation persévérante vers le but. Cette limite même peut varier en fonction du programme ou de l’évolution de l’oeuvre. C’est ce que Roxame appelle son “ubris”, son “ivresse”. En l’absence d’ubris, la ligne reste pure. Si l’ubris est très forte, la ligne “part dans tous les sens”. C’est souvent alors, d’ailleurs, que Roxame surprend. Quelquefois pour le pire, au point de “planter” son programme. souvent pour le médiocre, et l’oeuvre n’a aucun intérêt. Parfois pour le meilleur, la joie de so progarmmeur et, elle l’espère, de son public.

Roxame dispose aussi d’un certain nombre de foncions pour rendre ses oeuvres plus intéressantest : dégradés,t rames, renforcement de contours... la liste retera ouverte tant que le programme ne sera pas fini, s’il l’est unjour. Et là, Roxame peut mettre à profit sa patience et sa précision de robot pour déployer de technique qui seraient soit impopssibles, soient désespéremtn léasants pour un peintre humain : textures compliquyées, dégradés combinés, pulsations du ton comme de la densité...

Enfin l’oeuvre se termine et, pour l’instant, c’est l’auteur qui reprend le travail accompli, par exemple pendant la nuit ou pendant ses déplacemnets Une bonne partie des oeuvres va directemnt à la “corbeilel”. Quelques une des ruvivante sont alors imprimées, parfois avec des corrections mineures pour tenir compte des limites ou des caractéristiques particuliers de l’imprimante ou du papier. Les meilleurs monten sur le podium, c’est àdire sont montrées au public.

1.2. Démarche générale

On part
- d'un document extérieur (une image déjà faite, un texte littéraire ou écrit ad hoc) /ou de rien :
flux aléatoire : clavier, capteurs, incidents machine, fonction aléatoire
- d'un vocabulaire/syntaxe, outils d'analyse d'image : la culture de Roxame (Roxamebase, programmes)

Comment se décompose une image.
- à bas niveau D'une part un assemblage de surfaces (Maurice Denis).
- à haut niveau D'autre part une ontologie. Tout ce qu'il y a derrière, ce que pourra voir le spectateur.

Idée que pour comprendre les côniques, il faut voir en 3D, pour comprendre les équations dans l'espace réel, il faut un passage par les complexes

Un paramètre : "état de disponibilité" de l'oeuvre (ou d'une région) en entrée. le travail de Roxame va être d'aller jusqu'à la saturation, la disponibilité zéro, il n'y a plus rien à changer, ni à ajouter, ni à retirer. (formule souvent employée en art)

La saturation est à la fois
- un état objectif de l'oeuvre
- un état subjectif de Rox

L'état de disponibilité se mesure par rapport à un objectif. par exemple en CK. Il peut être lié à un état de Roxame.

Objectif : avoir un texte d'une certaine longueur (pour le bitmap 640.480 ?)

longueur maximale en en complexité de Kolmogorov (CK)
au départ, CK = 0 : tout blanc ou bruit blanc/chaos
il y a quand même des valeurs moyennes

1.3. Le bitmap

Ici : Maurice Denis, neurosciences

il y a qqch de brutal, d'odieux, de violent, dans le 640*480*3*8 bits. = 7 372 800 bits Et pourtant c'est bon à prendre, comme l'alexandrin

Le bitmap masque la réalité. Masque une réalité plus complexe, mais qui n'existe pas autant que lui, qui n'est pas aussi vrai, qui n'a pas cette réalité complexe.

Il y a deux réalités duales, aux extrémités de mes 7 niveaux ou simplement d'une image : le bitmap et le haut de la hiérarchie. Chacun a son mode de réalité, tous deux abstraits ou concrets.

Dans l'ordinateur qui héberge Roxame, le système de données ne va pas se limiter au bimpap, il ya toute la culture de Roxame, vocabulaire, opérateurs.

A partir d'un bitmap donné d'une part,  de la culture de Roxame de l'autre, va se développer un processus. Actuellement, la boucle des phases

L'avantage de Roxame, c'est que le bitmap n'est pas une limite théorique,mais une réalité bien concrète, objectivée, transmissible, vendalbe, etc. Ceci fait une différence avec le peintre, dont l'action a des limites floues. (papier, eau, geste/subjectile)

Statut de la frontière entre les bitmaps. Cerne ou pas. Quantité de cerne...  Contour, surface, touche

1.4. Ontologie. La Roxamebase

Vocabulaire (texte), catalogue de formes (icones), règles de construction ("sauf exception, les  murs d'un bâtiment sont verticaux et se coupent à angle droit").l'ontologie apporte les règles de dépendance, les contraintes métriques, les jeux de construction

Idem, objet. dans windows : la surface délimité' (bouton radio) et les strucutes, les méthodes derirèe. Toute la progressivité du concept au bitmap

concept : adresse (en quelque sorte, rebitmapisation radicale
textuel : mot
structures de prorpriétés
définition vectorielle
bitmap de référence
concrétisation de ce bitmap dans 'limage présente à l'écran, dans "le monde" (histoire généograhpie)

Exemples :
ciel : bleu, nuage, au-delà. plus ou moins sympa, menaçant, heure de la journée
position dans la page (plus reflets ...)
paysage : induit automatiquement zonage ciel, fond, premier plan, arbres, mer, fabrique,e tc.
je peux aussi chercher des paysages dans la base d'images
puis avoir un paysage type, pex 4 régions.

partir d'une photographie et chercher les 4 régions

Capacité expérimentale, réelle mais limitée. Possibilités d'apprentissage. Jouer sur les relations avec les spectateurs. On pourrait envisager une automatisation...

Valeur unique : la complexité. Mais déclinée par règles. Les limites de cette mise en règles d'une complexité générale sont un exemple de l'impossibilité d'appliquer en pratique une fonction L globale. Roxame a l'avantage de permettre une étude objective, voire quantitative, de ce qu'il faut faire pour agir malgré une détermination"rationnelle" suffisante à partir du L global.

 - l'image telle qu'elle est - paramètres mesurés (densité, variété, couleurs) ; rapport densité/résolution. Même à faible densité, une petite variété absolue peut être intéressante

- paramètre décidés : résolution, palette, couleur actuelle - temps depuis le début du travail, de la dernière image.. - environnement, en particulier présence ou non d'un interlocuteur humain, accès réseau et liaisons avec d'autres automats (Roxame ou non) et d'autres humains Autour de l'image : script Culture de Roxame en général et de cette version en particulier

A partir de là décider actions - générateurs/filtres/expanseurs/chargeurs - chagnements résolution, palette - équilibrages

Objectif : augmenter la complexité valeurs intermédiaires De l'objectif à l'action : les règles

On pourrait avoir, en théorie, une approche purement "expérimentale" : tester toutes les actions possibles et mesurer les résultats en termes de complexité. Mais la combinatoire est trop riche (résolution, générateur...). D'autant qu'il faudrait tester non seulement sur une action mais sur toute une série d'action, en théorie une suite infinie d'action jusqu'à saturation.

On peut cependant garder une partie expérimentale : tester une action ou une stratégie, sur un ou plusieurs coups, et voir le résultat. Une forme d'apprendissage. L'esthétique de la complexité est aussi une forme de jeu.

L'introduction du bruit dans une image, avec son côté positif : une "énergie" et négatif (destruction du signal).

Métrique de jugement dynamique : calculer l'effet prévisible d'une action (en termes de densité/variété/nombre de régions...) et comparer avec leffet réellement obtenu.

A partir du moment où on a une ontologie et des messages qui pointent sur elle, comment refuser le terme de "sens" ?

1.5. Construction d'objets

- atome  : pixel
- molécule, cristaux/ de base    :  lineto,  peut-être aussi cercl et rectangle
- molécules plus forte    fonctions plus générale
- séquences
- hiérarchies
- l'image globale

(l'ensemble des images)

La complexité réfère un objet dont on mesure la complexité. Donc n'a de sens que par rapport à une capacité d'intégration

Séquence
- sans liaison autre que le déroulement du scénario, avec référence tout de même à régions; ce n'est pas une vraie séquence, pourrait-on dire, s'il n'y a pas référence de chaque opération à la précédente (à discuter)

A. - avec liaison apr conservation en mémoire de type xLineTo, que repart d'xpyp
- mais on peut garder plus d'un point, on peut garder plusieurs points pour faire le calcul à chaque fois. Notion d'"ordre" de la séquence. mais on est ici en récursion

une sorte de récursion graphique, avec un aclcul itéré plus ou moins compliqué
Fibonacci... 
on peut garder aussi le type des opérations précédents
la totalité des valeurs engendrées

typologie par rapport à ce que je change. ATQC O... (??? )

si je conserve A, u peu analogue à une région, mais sans clipping, frontières forules

Ici il faut une condition d'arrêt.

On peut aussi utiliser l'existant, les limites de régions,

arrêt asymtpotique (on spirale autour du bord de la région) ou arrête franc

On peut itérer indéfiniment par écrasement ou sommation, en réécrivant toujours au même endroit ou dans une même région.

La bonne condition d'arrêt générale devrait être le non accroissement de complexité. Cela répond aussi bien aux ruptures franches (on écrit horrs de l'épure) qu'aux ruptures asymptotiques (la complexité augmente de moins en moins/

l'itération peut être plus ou moins déterministre ou aléatoire

si c'est peu aléatoire, on ne change pas le mode de fonctionnement, les conditions d'arrêt, etc.

si c'est très aléatoire, on perd la structure, on n'est pas sûr que cela converge

pour que ce soit intéressant, il faut doser l'aléa

l'aléa pourrait être dans le formalisme lui-même. écrire un programme, une équation, dot l'écriture même serait aléatoire, un oulipo matheux
i l faut tout de même des contraintes fortes, sinon on a n'importe quoi (débuts de Roxame), quel type de contraintes ?

Il y a toujours une finitude. Qui tient aux limites de l'épure
Donc, quand on donne les paramètres d'itération, on peut en déduire le nombre de pas, ou plus exactement, le nombre de pas utiles

il y a une "capacité" bitmap Vs  paramétrage

l'historique, pourrait être stocké avec le bitmap... y compris dans le document final, pour

analyses ultérieures...

B. on peut aussi se référer, plus hiérarchiquemnt, à des séquences énumérées (maison : mur, porte, fenetre(s), toit, cheminée). Proche de mes "phases"

C. for(région)

D. saturation de typa bateille avale, asymptotique jusqu'au pixel

Séquence de traits :
- le premier aléatoire entre deux pointz
- le deuxième remplissage optimal (centre de gravité ec. occupation globale, coupure ou pas ..)

ou deux traits aléatoies,

2. Operating

2.1. Le schéma de Roxame

On peut tenter d'affiner le modèle selon le schéma suivant, qui postule que l'oeuvre finale s'obtient en deux phases.

Dans la première est produite une "esquisse" abstraite de l'oeuvre, que ce soit à partir d'un apport extérieur (document, vision) ou d'une génération interne à base d'algorithmes, de facteurs aléatoires et de bases de données, qui peuvent comprendre des patterns mais à la limite aussi des images réalistes).

//où est le style dans ce schéma ?

Idéalement, cette esquisse est "saturée", c'est  à dire qu'elle ne comporte que plus que des codes et un certain nombre de "bitmaps" irréductibles en l'état actuel des connaissances de la machine.

Le schéma central nst jamais tout à fait algorithmique, encore moins totalement orthogonal. Il y a toujours du formel et du bitmap mélangé.

Dans l'analyse du message original (photo ou aléas si l'on en prend un groupe), revient à fiare un factorisation .

Dans une deuxième phase, à partir de cette esquisse, peut être produit soit un texte (description de l'image, en sortie d'un logiciel de vision, ou d'un générateur de récit...) soit une nouvelle image, par une série de générateurs pilotés à partir de l'esquisse, et ici encore, soit à partir de modèles internes, soit à partir de prises d'information sur le document original ou la vue qui est sous les yeux de l'artiste.

Dans cette optique, Roxame est un outil d'étude pratique, susceptible de formalisation aussi bien que d'expérimentation concrète.

2.2. Roxame et le style

Dans les technologies picturales classiques, le style découle implicitement, pour une part, des technologies choisies : support (toile, papier, paroi, vitrail), liant (huile, oeuf, cire, eau, acrylique, matière liante des crayons...), de la gamme des pigments (elle-même en partie limitée par le support et le liant), le mode d'application (types de pinceaux, couteau, voire aérographe).

Roxame est limitée (actuellement, octobre 2002) aux possiblités des imprimantes d'ordinateur. En tous cas dans l'immédiat, car rien n'interdirait de développer, sur la même plate-forme des pilotes de robots oeuvrant dans une matière plus présente, voire en trois dimensions.

En se limitant aux possibilités actuelles, les choix de Roxame sont souvent plus larges, et plus abstraits, que ceux du peintre classique.

Le choix de la couleur, par exemple, se fait directement dans l'espace des paramètres HSV. L'allure de la touche, le jeu des contours, se programment dans une large mesure.

On pourrait plutôt dire que Roxame est un méta-style (qu'on nous pardonne le pédantisme), un outil de définition de styles, à l'intérieur de certaines limites. De même que certains peintres (et tous à une époque donnée de leur carrière), se limitent à quelques recherches définies, au travail sur un certain nombre de "procédés", parfois exploités jusqu'à l'usure (Vlaminck, Buffet, ou plus nettement encore Buffet, Doutreleau ou Toffoli). Ils y sont d'ailleurs contraints par les exigences du marché de l'art. Pour prendre de la valeur, une signature doit devenir synonome d'une production régulière (50 par ans au moins pour un artiste national, 70 en international, m'a-t-on dit) aisément reconnaissable et fidèle à elle-même.

Au sein des possibilités de Roxame, la définition d'un style sera donc le choix d'un sous-ensemble des fonctions et d'une gamme donnée des principaux paramètres. Quelques pistes ont déjà été explorées.

2.3. Le style de trait, le pas et l'ubris

Le problème ici, et à lui seul il a consommé beaucoup de temps et pourrait en consommer encore à l'avenir, a consister à chercher le moyen de tirer un trait d'un point à un autre d'une manière qui ne soit ni trop raide ni trop aléatoire. Dans la version actuelle, Roxame dispose de trois "styles" de trait

. le premier étant la simple ligne droite (transposition du LineTo classique aux logiciels graphiques) (style 0)

. le deuxième ayant un peu une forme de "bateau" (style 1)

. le troisième, principalement utilisé, simulant une démarche successive de visée du point cible avec un taux d'erreur variable.

Ce dernier style est paramétrable de deux façons: longueur du pas intermédaire et surtout degré d'erreur sur la visée. Ce degré d'erreur est appelé "ubris" (ivresse). Si l'ivresse est nulle, on rejoint pratiquement le style 0. Si elle st forte, Roxame erre assez longtemps avant de parvenir au point cible.

Pensé au départ uniqument pour tirer des traits, ces algorithmes ont été ensuite étendus à la génération de surfaces à partir de polygones (triangles, rectangles) dont ils forment les arètes. Puis, toujours pour générer des surfaces, modulés en épaisseur. Après tout, un rectangle n'est jamais qu'un gros trait dont la ligne de base fournit la longueur et l'épaisseur devient la largeur... On compte bien jouer, dans les développements futurs, sur cette possibilité.

2.4. Les palettes

Pour des raisons de commodité de programmation, Roxame dispose de palettes toute faites.
. la palette VGA, qui correspondant aux capacités des cartes graphiques dans les premières années (de Xam, ancêtre de Roxame, en fait)
. une palette de 16 couleurs transposant appimativement la boite d'aquarelle de Pierre Berger
. des essais (sans suite, par appromations binaires successives de la codification RGB à 28 bits).

2.5. Les filtres

Roxame dispose actuellement (octobre 2002) d'une centaine de filtres, dont certains sont paramétrables. Ils permettent d'intervenir sur les paramètres RGB (red, green, blue, cad les fonctions clasiques de généraiton de couleur à l'écran) et surtout les paramètres HSV (hue, saturation, value) qui caractérisent une couleur indépendamment de toute méthode technique d'affichage ou d'impression.

2.6. Les fonctions Touche

Cette fonction, dans son état actuel, consister à balayer l'esquisse et à remplacer les pixels d'origine par une suite de touches, imitant sensiblement la brosse d'un peintre à l'huile. La touche est simplement un trait stylé comme vu ci-dessus.

Cette méthode, que l'on peut qualifier de filtre, au sens large, est parfaite pour montrer comment on peut générer une image finale "stylée" aussi bien à partir d'une photographie que d'un dessin assez géométrique généré par algorithme.

2.7. Les contours . cerne plus ou moins épais

Parmi les fonctions touchant au style, on peut influer fortement en générant des contours ou cernes plus ou moins marqués à partir de régions de l'image existante ou de régions créées au cours du processus, de la mise en touches, par exemple.

Le jeu sur la position, la répartition, la couleur et l'épaisseur des contours donne immédiatement d'importants effets de style, comme le montre la bande dessinée en particulier.

2.8. Le cadrage

Roxame comporte un algorithme relativement simpliste de recadrage, sélectionnant une partie du document d'origine, pour retenir par exemple les couleurs les plus vives, ou les plus foncées, ou les plus proches d'un ton déterminé.

2.9. Essai de plongée vers le  coeur

Plus Roxame progresse, plus s'allonge la chaîne qui part des entres (images extérieures ou valeurs aléatoires de paramètre), pour aboutir à l'oeuvre achevée.

Dans le cas d'une image bitmap au départ, de même taille que l'oeuvre terminée (640.480 pixels de 3 octets dans les deux cas), le gain binaire est nul. en quoi alors consiste le travail ?

Dans les premières phases, on peut parler d'une réduction. On ne retient de l'image d'origine que l'essentiel. C'est à dire, dans une optique de complexité de Kolmogorov, chercher le modèle formel  le plus court qui permette de reconstituer, de l'oeuvre d'origine, tout ce qui a de l'importance, qui est significatif dans les termes de l'ontologie amienne (et suffisament significatif, dans la mesure où cette ontologie est valuée).

Dans l'optique "R.F." (???) (reconnaissance des formes) , voir, c'est transformer une image en un texte qui décrit son contenu. Par exemple, si l'image d'entrée est une figure géométrique, et si on considère que les variations aléaotires ou techniques (crénelage) ne sont que es accident, du bruit, le travail de réduction ser achevé quand on aura trouvé l'équation de la courbe (type, valeurs, paramètres).

Si l'on veut aller vers un optimum, c'est une factorisation. Une division. Une réduction en facteurs premiers (autant que possible).//travailler cette factorisation

mettre en relation avec mon concept de "profondeur de traitement"

Le langage (courant) et les langages formels  par rapport à l'orthogonalité.
Epistémologie : C'est un peu rechercher, depuis la caverne de Platon, les objets réels qui s'y projettent mal. Mais on peut se passer d'un tel modèle "idéaliste".

3x2 + 2x + 5, soit 54 bits (huit caractères de huit bits), dns le contenu de 10 mégabits totaux. (???) le gain est énorme. A vrai dire, aussi grand qu'on veut si on peut augmenter à l'infini la résolution. De même, une page de texte, avec quelques deux ou trois mille caractères, si l'on néglige le dessin des caractères.

//noter qu'avec une formule de ce genre, si on dote Roxame d'une certaine cculture mathématique, on peut faire beaucoup de choses : foyer, prolongemnets, interpolatnion, additions, ...

L'oeuvre résulte de la "multiplication" de ces bits par la "culture", de Roxame, au temre du processus de la synthèse de la parole.

Quant aux facteurs aléaoires, ils peuvent représente... il y a de la perte.

Une solution triviale consite à reproduire l'oeuvre en sortie telle qu'elle est entrée. Il n'y a pas, alors, de compression (ou une compression totale par la fonction identique). Et l'on pourrait dire que le travail aura été d'autant plus profond que la phase de réduction aura ramené à un modèle plus faible en bits. (Mais c'est simpliste).

Mais c'est une solution de facilit. ame, tout en déterminant, la formule de la parabole, eut s'intéresser à bien d'autre aspects : couleur, épaisseur du trait, degré de netteté, ereur par rapport à al courbe théorique...

//Dans le cas non trivial, tout recalculer plus de correspondance bit à git entre entrées e sorties, ni même image à image

//Roxame peut éovquer, multpler le schéma par la culture de Roxame pour faire oeuvre de synthèse.

////////////schéma

Sur ce même schéma, l'enthousiasme créateur n'est pas en entrée. La meilleure description serait : perception d'une différence de potentiel entre l'amont et l'aval;
ide que du bitmap donné en entrée (ou généralemnet des entrées), on peut "tirer quelque chose".
Dans quelle mesure Roxame est moteur, active ? D'abord elle peut créer toute seule. 
Devant une oeuvre de Roxame, on ne peut pas s'interroger sur ses "intentions", ses "émotions"
sinon au second degré, celles de son auteur. En tous cas pour l'instant, dans l'état primitif où est Roxame

Que peut chercher le spectateur ? 
- plutôt de heureux hasards/cadrages come dans la nature
- plutôt les inteitions du concepteur.

Emotion/comportement
structure d'une émotion, nature/degré. hiéarchie
un paramètre pour les comportemnts
effets internes, expression externe

Caractéristiques de l'état émotif :
inquiet/tranquille
peur, enthousiameme, ubris, cool
bouclage entre émotion trop forte et débordment

Tomkins et Messick ?

Relations avec fonctions graphiques de Roxame

émotion forte, augmente ubris, le pas
négatif/positif, jeu des couleurs
choix des scénarios

il pourrait y avoir un facteur de succès, renforcement, apprentissage

simuler les bouclages

les émotions sont liées à
- la culture
- le comportment

- l'évolution de l'oeuvre, plus ou moins réussie, les contradictions rencontrées et surmontées font évoluer un "état émotif" de Roxame.

2.10. Système de référence  

- densité, globale et par couleurs. par rapport à une couleur de fond - variété élémetnaire; ne dépend pas de la couleur de fond - couleur de fond Il faut donc un systèmes de règles a priori pour guider l'action.

Donnons Quelques exemples

- travailler à résolution/palette croissante. De 1 bit (res 1, palette 1) jusqu'à 24*640*480 bits

sauf crise. émotion : prémonition de la crise

On ne peut pas faire de régression, sauf crise, recuit simulé

Stockage pour permettre la régression sans risque

2.11. Technique informatique

Le Roxamemap comme objet composé : un bitmap et des éléments autour.
paramètres, texte
ressources générales dans "l'environnemnet Roxame"
série de bitmaps, série de textes

les belles réussites
un cadre général de présentation à la Powerpoint

2.12. Système à deux machines

Un miroir devant Roxame
ou deux machines,  l'une regardant l'autre
cerveau droit et gauche
le deuxième regardant par caméras
et envoyant à Roxame. avec un jeu de pilotage des capteurs et de pré-traitement des signaux qu'ils émettent

Les deux machines partagent un même coeur pulsant
communication entre elles à différents niveaux
On peut toujours simuler cela avec des phases de lecture et écriture... mais si on le montant vraiment, avec une webcam... cela aurait un effet "médiatique" plus important.

Martine trouve intéressante le genre d'écriture arabe. Mais par la suite, Roxame ne l'a plus intéressée. Le jour où je lui ai dit : "Maintenant on pourrait s'occuper de vendre"...
Trouver une sorte de gestuelle.

2.13. Paramètres à prendre en compte dans le calcul

les paramètre systèmes : température, vitesse de rotation

Paramètres "état psychologique" de Roxame :
- plus ou moins active, travailleuse,
- plus ou moins à l'écoute  intra/extravertie
- rationelle/ ubris
- en sympathie ou non avec un utilisaeurs présenet
- état des finances
- problème à résoudre détecté dans base

degré d'occupation de la mémoire centrale, des disques

2.14. La base de données générale

La Roxamebase plus les programmes, voilà la "culture" de Roxame.

"Quoi de plus loin de nous que l'ambition déconcertante d'un Léonard, qui considérait la Peinture comme un suprême but ou une suprème démonstration de la connaissance, pensait qu'elle exigeât l'acquisition de l'omniscience et ne reculait pas devant une analyse générale dont la profondeur et la précision nous confondent".

Valéry, pièces sur l'art.
Modes simples : chercher dans la base la racine d'une oeuvre (situation de fait en juillet 2001). ensuite, viser une constellation verbale, base récursive sur types d'oeuvre, symbolisation, etc;
associer constellaion verbale et bitmap

Son développement est un point essentiel des objectifs de Roxame. Les oeuvres font partie de la base . Avec des ajouts automatiques. Attention dans ce cas à ne pas supprimer manuellement, ce qui ferait pb ensuite. Mais il faut faire une gestion d'exception...)

La base de données pourrait être une base de connaissances très générale, choix, en raison notamment de mes connaissances en programmation, un ficier simple, sur lequel jouer en suite par programmes (b de D récursive) soit aussi par l'emploi systématique d'AnsiString interprétées ouvrant sur une sorte d'IA (ex. par distances, contextes, ouverture de crises)

Assez peu important par contre pour le public

Sauf si parvient à l'accroître. Mais lui chercherar d'abord un effet

Donc, Roxame va vers sa BD quand il n'y a pas divisiteur ni d'alamre.
Alors, elle cherche aussi bien à meubler sa mémoire vive qu'à remplir ses disques.

Quid quand tout sera plein ?

Analyse de la BD : chercher les régularités (symétries) pour
-compresser,
-mieux naviguer,
- dégager des concepts de ces régularités même ;

puis chercher à régulariser

à partir de spincipes de régularité

Sur la base elle même, le travail a un caractère réducteur, sauf l'émergence toujours espérée, et les apports externes. . Aller vers un état de repos, mort, où il n'y a plus rien à régulariser

...

remplir le disque..

Roxame peut se dire : où en étais-je
un pointeur sur son travail en cours : le dernier mot étudié, l'opération faite dessus.

Mais, dans le fonds, il y a des couches différentes d'intégration, des parties plus ou moins profondément intégrées. le travail le plus récent, par exemple

logiquement, Roxame peut d'abord travailler sur cette intégration du travail le plus récent
- garbage collection
- recherche de doublons

faire voir irrégularités, par exemple :
- mot d'un dictionnaire/lexique (naturel s'il y a un dico dans Roxame),
- mot n'ayant d'autre présente qu'au lexique,
- mots pauvres/riches...

si lexique + dico (mots, figure), pas au dixà et d'abord, repérer les mots pas indexas

en fait, le travail de mise à jour /indexation n'est que la suppression de ces inégalités là

Au delà :
- table de bitmaps associés aux mots. construire un bitmap pour tout mo à partir de documents. Ou au moins, alors, renvoi à un bitmap générique ou utilisation d'un bitmap par pimité
- table de définitions (dictionnaire au sens classique)
- multilingue (dictionnaire de traduction)
au delà des mots : espace des expressions

à partir d'une certaine longueur d'expression, il devient rentable de stocker une version de référence et des pointeurs dessus,

c'est une sorte de bitmap textuel

 

- Catalogue de motifs (polices étrangères, pictogrammes, kanji..) Dans la version actuelle de Roxame , la dynamique est secondaire en principe, on vise les images statiques (cepdndnat intéressant d'aovir de jolies chose). On ne vise ni la dynamique ni le son
- mots/ce qu'ils évoquent, thesaurus et hiérarchisation. évoquent couleur par exemple. et les couleurs on des mots  : rose, orange, marron, pivoine, peau...

Structure hiérarchisée de mots.

Ex  Espace : paysage/nature morte paysage : marine, montagne, ville, plaine...

2.15. Développements autour du texte

Générateur. Calliope. Voir s'il y a quelque chose chez Balpe.

Illustration d'un texte. Par exemple avec catalogue de formes et composition.

Ex. Maison, enfant, dans. Ciel. Herbe...

XML

Travaux chinois sur la génération de films à partir de textes en langue naturelle.

2.16. Découpage : les régions (ou régions)

La localité

Sur l'obtention, j'avais d'abord x/z. J'ai maintenant mon filler. Basé sur les couleurs. Contraitement à ce que je pensais, j'ai pu me faire un nombre très grand de régions. A la limite autant de régions que de pixels. (été 2002 : j'ai maintenant des problèmes de ce côté, je ne sais pas pourquoi).

On peut les avoir sur l'état brut, ou sur des réductions.

Métrique sur l'ensemble des régions :
- nombre total de régions (attention, c'est différent de nozmax).
- à taille constante de l'image, s'en déduit une moyenne de pixels par région
- répartition des régions par nombre de pixesls
- couleur globale du bitmap, dispersion des coloris

Métrique sur une région déterminée
- surface globale
- x et y max
- régions contue dans, ou contnant d'autres
- couleur globale
- centre de gravité.
- orientation (direction donnée de façon externe + centre de gravité
                    ou direction donéne par la plus grande longueur ¨+ centre de gravité
                    direction donnée par un axe de symétrie

Table des régions

numéro et référence au bitmapr numéroté

reprise propiétés découlant directment du btmap pou gagner du tmeps (poids, position)

Organisation des régions dans la page
- près/loin, droite/gauche
- lointains : faire flou, dominante froide, faible contraste, faible saturation
- premier plan: très net, dominante chaude, contrastée

Opérations sur une région :
- redécoupage d'une région, à mememe niveau ou hiérarchiquement
- sans redecoupage, texturation, effets graphqiues, hachures, pointillés, damiers

(été 2002 : je n'ai pas implanté cela), en revanche, fait des camaieux, ou de la mise en touches (ToucheXX).

2.16.1. Travail sur régions

Peuvent être générées par régionr() ou par les fonctions zonantes (E)

Une fois qu'on les a définies/calculées, on peut
- compter le nombre de régions (une forme de deensité)
- mesures globales et mesures sur chaque région
- chercher les plus complexes et les plus intéressantse, suffisamment grosses pour avoir de l'intérêt,  les symétriser
- jouer une sorte de darwinisme de régions, avec une capacité d'accroissemnet, rétroaction positive jusqu'à un certain point

dialectique avec contour/dessin

Dans les régions, faire des textures, dessins etc.
- découpage en régions de niveau inférieur (hiérarchie de régions)  ou au contraire non différenciées

Il faudrait ici avoir des fonctions complémentaires qui améliorent la robustesse

Evaluations sur régions :
- type
- examen du contour (reconnaissance de formes)
- position de la région dans l'ensemble
- relation de la région avec ce qu'il y a autour

2.16.2. Idées de développement

- hiérarchies
- contourage
- dans la suite des phases, décompositions plus fines puis regrtoupements
- pistes pour la simplification, regroupement de régions plus petites, ou faire des ones plus complexe
- compétition enter régions pour gagner de la surface. quelles règles dujeu, en particulier pour être convexes plus ou moins aux dépens des autres
- combinaison, assemblage de surfaces
- relations avec mots
- dialectique ligne/surface
- placement, calcul
- orientation (pex : le diamètre le plus long donne la direction, le centre de gravité donne le sens).

Centre de gravité. Paramèter à mesurer sur une région, sur l'ensemble. S'en servir pour affecter la suite.

Les régularités perceptibles

2.17. Changements de résolution ou de palette

Mi sept : ne semble pas très efficace. Trop brutal. Sauf pour tarvail détude en basseres. Plutôt des passages en "fréquences basses' et convolutions, selon la nature du travail

Le passage actuel, à l'identique quand on affine, pourrait se fair autremnet : par du flou, de la dispersion.

En fait, il faudrait avoir un paramétrage des modes de passage sur l'iée : quand on augmente res ou pal, y il y une augmentation considérable du nombre de bits disponibles, comment s'en servir au mieux.

Cependant tout le travail de l'art, de Roxame en particulier, consiste justemnet à exploiter la marge libre laissée par ce changemetn. C'est cet espacd "blanc" qui permet d'écrire;

Faire une famille de paramètres d'expantion :
- dégradé, doux/dur, TSL, palette stylistique
- continuité style, équilibrage
- précisoin:   paysage/vs nature morte

paysage/namarine/pays nordique/en hiver/Asie/région habitée/heure de la journée/tel événéemnt de l'année

2.18. Les couleurs

La couleur sert à trois choses
- réalisme, objectif la couleur des choses, ce que voit la rétine; expression du relief,
- subjectif : rouge/énergie,
- segmentation de régions.

Après quoi, tous les algorithmes à base de palettes devraient disparaître
Au départ, j'utilise des palettes techhniques  : VGA et ma palette "aquarelle".
Il vaudrait bien mieux travailler en HSL, systématiquement, et ne repasser en RGB qu'au moment de l'affichage.  Pour cela, écrire les routines HSL/RGB et réciproquement.

Mais alors, comment Roxame choisit une couleur ? dès que la palette est grande, de grands numéros

- sous palettes réalistes : paysage, nuit, chairs
- sous palettes subjectifs : gaite, tristesse, ivresse, fatigue

- Limitations sur valeurs max (inverse de meilcont, en quelque sorte)

A partir de peu de bits, puis affinement
Travailler sur hsv/rgp, avec convertions. par point, région, global

Les systèmesd e fusion de couleur. aquarelle etc.

Refaire une gamme de palettes :

0.  1 bit par pixel
1. 3*1 bit, 2. 3*2 bits, ...
$ 8  3*8 bits

Cela fait neuf niveaux, échelonnés de 2**0 à  2**24 , en montant de 2**3 à chaque fois.

Répartir en RGB ou HSL

ex à 3 bits :

- HSL : 000 noi
             001 blanc ?
             marche pas

Mais pas évident, pcq avec 0 et 255, cela fait plus que 2**n valeurs..

- RGB  000 noir
            001 bleu
            010 vert
            011 cyan
            100 rouge
            101 magenta
             110 jaune

             111 blanc           

2.19. Le dessin

Chercher le tremblé. l'espèce "d'écriture arabe". Pas mal de progrès faits, notamment avec style 2 (angulaire)
Le flou, l'entourage anti-aliasing

plutôt fonctions D.

Pour trouver des lignes :
- rechercher des lignes dans l'image existante par fonctions (filtes) ad hoc
- travail à partir des régions et de leurs limite

2.20. Dessin/Contours

Aleadraw. après divers essais, jouer plutôt le détour par une res plus vaste

puis redescendre

Ici; opérateurs linéaires dialoguant plutôt avec contour[] (?) alors que les opérateurs surfaciques dialoguent avec zon[]

L'ubris, le décalage, peut jouer notamment dans la dialctique avec zon[]

2.21. Surfaces et contours

Le contour a une épaisseur, en pixels. Et on peut la charger. Styles de "pen"

On postule un paquet de pixels liés par quelque chose,
- la couleur
- une désignation, n'importe quoi qu'on peut nommer, appeler, si possible reconnaître

les points d'une fonctin, une définition en extension/compréhension

Quant j'ai mis de l'aléa, je ne peux plus appeler, ou c'est très lourd. Dans certains cs je sais décuire le contontour de l'extension

attracteurs de Thom

déduction, transformation par offset

une droite, tous les points déduits d'un point par itération du même offset

mis on bute sur la résolution

dès qu'on a une formule s'oppose aux pixels
- topologie des ensembles tels qu'on puisse trouver le contour

famille cohérente de rectrnges.. pleins/creux

avec X(44) je sais passer du  contour au plein, d'autres X faire l'inverse

2.22. Localisation

région floue autour de régions, avec un grid de régions, donnant le flou autour

2.23. Objets et figures

A la fois surface et contour
voir comment sont faites les outils de CAO, VRML etc.
objets types, ontologie :
hiérarchie d'objets
paysage : arbre, ciel
tête : yeux, bouche

Même en restant dans une optique bitmap, si hiérarchie :
- simplemnet sous-bitmpas "implicites"
- parties avec définitions externes des relations

Objets de type récursif : fractales, vie artificielle... chaos 
J'ai fait de premiers essais avec le ciel

2.24. Exemples de stratégies /types d'oeuvres

Dialectique entre les formes continuese t les contours.
- ligne, contour. en un sens, le démiurge organise
- masses,croissantes, darwinien

Stratégies à partir d'un mot, d'une série de mots, plus paramètres du jour. Une personne et ce qu'on en sait. "Peinture faite expressément pour telle personne, telle société, à telle occasion".

A partir d'une phrase, d'un texte. Avec d'abord analyse du texte. Aller aussi loin qu'on peut. Pourquoi pas jusqu'à une décomposition du texte en tableaux, puis faire une sorte de BD.

- Noter que les mots peuvent ou non être eux-mêmes écrits

Stratégie à partir d'une photo (ou autre document chargé). De toute évidence, certaines sreont plutôt faciles, bien zonées. D'autres chaotiques. Eventuellemnet faire un try/catch et passer à une autre photo si Roxame ne sait pas quoi en faire "nest pas inspirée". Normal même pour homme: celui qui a un marteau voit tous forme de planches à clouer.

- analyse de la photo
- types de traitements (découpage, etc.)

Stratégie à partir du dialogue avec un utilisateur (optique très Max).

Stratégie combinée, avec les possibilité de contradtion: on veut faire un paysage on se donne une photo, mais en fait ne vas pas du tout, ce n'est pas un ephoto de paysage, ou du moins on n'arrive à rien reconnaître.

Stragégie plutôt verticale ou horizontale. Etant entendu qu'il faut bien partir d'un point d'entrée et finir par un point d'arrivée (qui pourrait être la signature de l'oeuvre).

Stratégie : découpage, coloriage, texturation, ajustement globzal, signature
- montée en résolution toujours au trait
- aller vers photo noir et blanc à partir du trait, avec résolutions montantes
- "Mondrian"
- "touche impressionniste"
- bataille navale

des objets; des règles de construction.

on pourrait, à partir d'une position de départ correctement construite, introduire ddes erreurs, dubruit

- alors, va recoller, prolonguer, ou douper des bateaux

comment on peut reconnaître cela

- conflit darwinien

Chaque étape prépare un espace pour la suivante (Il faut pouvoir enregistrer, stabiliser cet esapce).

Il faudrait qu'un changement d'étape donne une marge pour ne pas ensuite avoir besoin de trop analyser. Faire un enfant ?

Utilisation de Roxame en évaluateur. Et proposition d'amélioration d'un document donné.

2.25. Types

Pour la reconnaissance comme pour la génération

- Paysage.
Il y a du bleu en haut (le jour),
une stratification plutôt horizontale, un horizon de outes façons

-Abstrait
saturation forte
lmignes à droite
à-plats

- Portrait
stratification plutôt verticale
parites à couleurs chaudes (chairs)

- Nature morte
saturation faible, clair obscur

Eté 2002 : campagne,ville, intérieur, chair, BD, N/

3. Varia

3.1. Le temps de Roxame

3.1.1. Bases

Voir plus haut "paramètres"

Niveaux principaux du temps "réel"
- temps larges (année, saison)
- temps proches (jour, heure, minutes de travial)
- pulsation (autour de la seconde)
- dessous

Niveaux principaux du temps "Roxame"
- âge depuis sa création
le temps depuis le début d'une opération,
le temps estimé pour faire quelque chose
surtout quand il y aura du dialogue.

Le plus intéressant : le passé constitué de l'ensemble des oeuvres ?
Conséquences : Voir paramètres en phase zéro.
on peut considérer que l'épaisseur du trait croit au fil de la semaine
que les objets sont plutôt en bas à gauche le matin, en haut à droire le soir
il pourrait y avoir une sorte de mapping temporel des régions

3.1.2. Log et prévision dans l'action

Minimum pour un undo/redo
combien d'états antérieurs

log bitmaps, log vectoriel ou actions (mais alors, le Random/Roxamedom)

Undo/redo

(voir ailleurs note sur "jugement final")

le undo/redo est une sorte de sous-cycle, qui a l'avantage d'être non léthal, de ne pas exiger une nouvelle génération radicale

cas comparable try/catch
- états antérieurs
- suite des ordres (avec les valeurs aléatoires fournies)

combien de bas on veut pouvoir retourner en arrière
éventuellement, choix dans le redo, oubli partiel

Il y a une relation entre les capacités de re-do/pre-do et les capacités d'évaluation, la possibilié d'avoir du style.

"jugement final"

et donc la boucle globale,

3.1.3. Irréversibilité

Dans la mesure où on ne veut pas ou peut pas tout garder,  il y a irréversibilité. Des paramères nombreux tirés au hasard défient une rétroingénierie.

Non répétitivié, plus irréversibilityé du fait que je fais tout le temps évoluer le programme. Je ne pourais, dans certains cas, que difficilement refaire qqch du même genre. Je garde d'anciennes versions, avec leur mode d'emploi. Mais j'aurais sans doute du mal à m'en  servir.

D'où l'obligation du séquencement en phases ? 

Découpage de l'analyse : le capteur, le détourage, le passage à la description formelle

            bouclages dans le découpage : auto-régulation du capteur, etc.

Découpage de la synthèse : esquisse, travail principal, finitions

Nécesité du découpage. Lien avec l'irréversibilité. Ou alors comment faire ?

Progressivement, il faut découper : régions, calques, couleurs, objets. métafichiers extérieurs à l'image.

Il faut dans le même temps affiner les opérateurs. Exemple A , en res 0, choix d'une couleur. Vers fin d'action, palette 4 : correction de dominance

-un générateur augmente la densité et la variété, au départ. Mais, assez vite, la variété commencre à décroître.

Donc idée qu'on va vers une "saturation" à respal et jeu d'opérateurs déterminé. Il faut alors faire un changemn de respal. On peut considérer qu'il s'agit d'une sorte de crise (?)

- un expanseur augmente la densité sauf si couleur de fond. mais l''efficaicté décroi^t quand on approche de la saturation

- certains expanseurs (eguw) augmentent la densité sans changer sensiblement la variété, ici encore sauf si couleur de fond. Mais, au bout d'un certain temps, d'une part il y a aussi saturation, et surtout réduction de variété

- un filtre ordinaire réduit la variété, en simplifiant. il peut ou non augmenter (filrec) ou réduire (s,t) la densité. Ici encore,variable selon couleur de fond

- les choses intéressantes sont "in medio"; il faut donc augmenter si on est dessous, réduire si on est au dessus ; plus généralement, il y a de "bones valeurs" qui sont connues a priori (... ?) et que l'on vise. ; si ces valeurs sont des ratios entre diffzrentes mesures, on peut parler d'accod, harmonisation, tuning

- aller vers une résolution et un finesse de palette toujours plus grande, sauf "crise'; relation entre crise et émotion (l'émotion est la prémonition de la crise) ; recuit simulé : stratégies de reculs temporaires - une augmentation de finesse (res et/ou pal) maintient la densité mais réduit la variété. ce qui compte est en fait variétéxres, autrement bits de varieté en valeur absolue

Le progrès appelle des séparations de l'image, soit en couches (calques), soit par localisation.

soit dans des documents annexes non graphiques (documents textuels)

- symétries droite/gauche

Les règles peuvent partir de l'eRoxameen de l'image en cours.

Mais elles pourraietn porter aussi sur la syntaxe et le vocabulaire des scripts. ex. ne pas répéter plus de n fois une même opération...

3.2.Phases

3.2.1. Phase 0.  Initialisation technique

3.2.2. Phase 1. Le coeur

- jours de la semaine, pex. lundi prend objet de type R, avec fond h

- biorythmes de Roxame, avec la lune, etc.

- saosp, de m'a,,ée

A ce niveau, peu de bits. Encore indifférenciation.

Des mots, des paramètres très généraux d'état d'âme

hiérarchie de mots

implémenter la base de références

3. 2.3. Esquisse, globale, à basse res  (résolution et palette )

Objectif, travailler avec le noyau minimal de bits,

ne différenciant pas résolution/palette/mots. le coeur

de là, monter en bits, avec différents itinéraires possibles

un en qq sort normal, faisont monter équitablemnet res pal (et mots ?)

d'autres privilgiant d'abord le dessin ou au conraire la couleur

8/2002. Je ne suis plus cette piste, mai s plutôt, à partir d'une photo, recherche d'une structure (esquisse) pour passer ensuite à une phase d'exécution. Voir le schéma sur la symétrie des démarches abstraite et concrète)

3.2.4. Premier travail local, à basse resolution

Ici, on est déjà contraint par la localité (surface plus petite), mais aussi par la nécessité de différenciation par rapport aux autres régions

il y aura donc normalement des contraintes sur les couleurs

en pratique aussi, semble délicat de travailler à rsolution différente danz une région

poserait en particulier des pb aux frontière si elles sont définées à plus base res

Mesures. vérifier que mesures peuvent se faire sur région

3.2.5. Retour à l'intégration basse res

3.2. 6. reprise globale haute res

Choix de l'utilisation du gain de CK :
- en résolution
- en palette

fignolages haute res local

3.2.7. Ajustements et intégration local/global

3.2.8. Finitions, textures

- série de régions parallèles serrées
- textures périodiques (d'une manière générale, j'ai très peu cela)
- petits cercles

8/2002. PRatiquement rien fait. Ce qui a bien marché, ce sont les dégradés et les camaîeux

3.2.9. Signature. et enregistrement

uniquement si le tableau est bon (la décision est logiwument à prendre en fin de phase8.

Localement contrastante, globalement conforme.

- heure, temps passé depuis le début d'une phase

en fait, remplacer random et randomize par des fonctions calculées

3.4. Le hasard et les règles (les canons)

(Monod : hasard et nécessité)
Hasard sous contrôle. Lecourtier. Montseny sur les interphases (surfusions).

Différent pour interlocuteur humain et pour Roxame. Tirer un nombre au hasard ne la fatigue pas beaucoup. Lourd pour un humain;

Pour Roxame, peu importe où le hasard intervient, à l'intérieur d'un opérateur (h, v) ou à l'extérieur (mémoire brute, capteur).
Mais il sera plus beau et plus libre d'implémenter les règles sur des fonctions sans aléa et avec aléas expliciter extérieurement.
par exemple. cohérence entre palette et résolution

Pour l'opérateur humain, il serait fastidieux de donner tous les chiffres, donc il faut donner un moyen à Roxame de m'y assister.
On voit le double rôle de Roxame: partenaire mais aussi infrastrucure commune à une création humaine comme à une création autonome.

Rappelle les trucs de Valenciennes (thèse Mourad Abed)

3.5. Valeurs dans Roxame

Partant de la valeur (mesurée) d'un paramètre, ou objectif.

En général, une valeur de paramètre peut être
- mauvaise ou bonne, par rapport  à une "normale"
- typique
- paramètre repris pour paramétrer l'action (neutre)

 Un écart par rapport au type peut être considéré comme négatif (erreur), ou au contraire positif (original, intéressant).

Sémantique des paramètres
-  état de Roxame
- paramètre d'action

normaliser/corriger, régulariser une forme, renforcer
créer/développer

Exemple d'actions sur une ligne détectée :

- mesurer : place dans la page, épaisseur, longueur, "style"
- reconnaître : famille de ormes, sémantique combinée des formes
- agir : simplifier, compléter, touchez autour, remplissage par touches,

combinaison avec régions

Exemples d'action sur une région

- mesures
. paramèters généraux de la région
. les situer par aux paramètres généraux de l'image : la région est plus claire, plus froide, plus vairée
. paramètres géométriques : grande ou petite, plutôt en haut (potentiellement: ciel))

Il y a des régions plus ou moins riches, importantes, intéressantes :

. variété plus grande,
. bien placée (points forts, premier plan)
. forme reconnue et considérée comme improtante
- reconnaissance :
. familles de formes et paramétrage

cette région est un oiseau, un carré, un "xy" (famille nommée, sans métaphore)

- actions
. rectification de la frontière
. géométrisation sur type 
. simplification, récupération de parties masquées, regroupement de zones (ciel entre les arbres)
. changement de couleur, d'orientaino
. symétrisatinon
. dessin à l'intérieur de la région,
. texture, ombrage, dégrédés, contours

Sacrifier les régions peu intéressantes aux plus intéressantes (SelectRect), les mettre en valeur

(sat)... , lissage de leurs frontières, cerner, voire déplacer pour le mettre à un encroit correspondant à sa sémantique, et recadrer

ici encore, dialectique type/écart

Faire varier les types de traitement selon les paramèters de la région
. épaisseur de la touch
. flou (ciel)
. contours en bas
. saturation plus faible dans les lointains

Relation avec les émotions de Roxame : elle a une certaine quantité d'énergie correctrice : si une photo sombre, Roxame l'éclaircit, mais cela assombrit son humeur

4. History and prospects

4.1. Histoire personnelle

Roxame, c'est d'abord , à la fin des années 1990, un projet à long terme, hypothétique. Une solution de facilité pour occuper ma retraite si d'autres pistes, plus ambitieuses, explorant les confins de la philsophie, des mathématiques et de l'informatique, s'avérent trop ardues.

                                        

                                                    Portrait de l'auteur par Catherine Beaunez, vers 1979

4.2. La naissance

Et puis le désir l'a emporté, la passion, la nécessité... (caprice ou pulsion artistique profonde ?). J'étais las de peindre à la manière traditionnelle,a vec ses longues heures de soliude face à la toile ou au papier, à se battre successivement contre des difficulés de pigments, de perspective, d'anatmie, à chercher de petites astuces pour bien rendre le ciel d'été ou les fraîches ramures du printemps, avec cette nécessité d'entretetenir, de travailler sans cesse la boucle oeil/main. Un combat que ne comprennent pas, souvent, ceux qui regardent les oeuvres d'un amateur. Ils disent "Vous en avez de la chance,v ous, je voudrais bien moi aussi pouvoir m'exprimer"... Certes, de temps à autre, la joie d'une difficulté surmontée, d'une oeuvre réussie, voire vendue (au salon de Gonneville-sur-mer)... Mais une joie cher payée.

Je suis d'ailleurs déçu, aussi, par la peinture des autres, au fil des salons. Ou bien, à haut niveau, l'art est devenu une contestation, une affirmation gratuite ou une recherche technique. Est-ce vraiment de la peinture ? Je pense en particulier aux interventions passionnantes de Fred Forest...  Ou bien c'est médiocre, peu original et souvent maladroit.

L'occasion naît au printemps 101. Pour tenter une exploration de XML, je réouvre mon compillateur C++ Builder, de Borland. J'écris quelques lignes... et je retouve ce qui reste d'un programme plus ancien, Xam (voir par ailleurs). Peu à peu, l'écran s'anime, cahotique au départ, déclenchant un certain scepticisme chez mon épouse. Elle me dit : "D'ici que tu puisses exposer, il y a du travail". Les images, aléatoires, n'intéressent que mon petit fils Yann (3 ans à l'époque).

Cependant, peu à peu, le travail avance, les images se font moins instables. Quelques conseils d'amis et... à la rentrée 2001, les choses sont suffisamment avancées pour que Françoise Bousquet m'accepte parmi les artistes de sa galerie, la Maison d'Art d'Us, dans le Vexin.

Au passage,  Xam est devenue Roxame, car le nom de Xam est assez abondamment

présent sur le web, y compris comme marque commerciale. Alors, Roxame... un robot à la recherche d'une âme... Je décide aussi de ne diffuser les oeuvres que sur papier.

Succès d'estime, bon accueil par la presse locale, mais pas de succès commercial. Mes amis acceptent volontiers mes oeuvres et vont jusqu'à les faire encadrer. Mais pas jusqu'à sortir leur chéquier. Et je suis refusé au Salon des peintres de Maisons-Laffite

Pendant l'été 2002, malgré des difficultés techniques qui retardent beaucoup le développement, des développements vers des oeuvre figuratives, à partir de photos, permettent de se faire plus séduisant. Au Marché d'Art de Maisons-Laffitte, Roxame encaisse enfin ses premiers euros. Pas par centaines... mais c'est un grand pas. Le prochain serait d'être accepté, cette fois, au Salon des peintre. Peut-être grâce à un excellent article que m'a consacré le Courrier des Yvelines ?

Au fil des heures passées à programmer (c'est toujours une lutte aussi, mais au moins on a l'impression que ce qui est acquis l'est une fois pour toute, même si on ne peint pas deux heurse par jour, et peut servir un nombre indéfini de fois, au moins en principe).

Roxame s'avère un intéressant champ d'expérimentation, une recherche-action. Elle me permet de poursuivre, plus à ma portée que des travaux de théorie logico-mathématiques, le travail sur philosophie et informatique. D'autant plus que l'insuccès de mon livre L'informatique libère l'humain ne m'encourage guère à pousser sur les chemins de l'abstractino, et que mes travaux à l'Asti ne peuvent être, prioritairement, qu'au service des autres, donnant en retour, l'asurance d'un contact précis et chaleureux avec le monde de la recherche. Ce n'est pas rien, mais cela ne fait pas, en soi, avancer mes travaux, ni ma reconnaissance comme chercheur par une communauté qui, tout naturellemnet, me considère essentiellement comme un journaliste et non comme un chercheur.

Quant au public, Roxame a un avantage sur tout texte écrit, surtout dans le genre de mon livre : il suffit de montrer ses oeuvres, même à des enfants, pour avoir des réactions.

- refus a priori : puisque c'est automatique, ce n'est pas de l'art. Ou alors, vous nous refaites le coup de Boronali (cet âne que l'on fit peindre avec sa queue, au début du siècle) ; avec des motivations variées : c'est trop abstrait (souvent on masque le refus sous autre chose)
- une réprobation plus ou moins explicite. un mot amusant "c'est tout de même un peu iconoclaste, ton truc"
- chez les artistes
- ches les spécialistes du numérique,  et des arts graphiques, on réduit à Roxame à un jeu de filtres, aux fonctions diverses fournise par Photoshop
- chez les artistes traditionnels, un mélange de réprobation et de jalousie : "vous allez nous mettre au chomage" ou "à quoi bon nous esquinter devant nos toiles, si votre ordinateur fait le travail tout sul.
- une surprise positive : c'est plus joli que ce que je pensaias
- quelque fois, une compréhension des vrais enjeux, notamment la journaliste du Courrier des Yvelines
- quelques uns y voient ma maîtrsse...

Finalement, Roxame, pour moi, c'est un excellent moyen de faire avancer la réflexion sur l'avenir de l'humain !

4.3. Le débat réductionniste

Roxame contribue tout naturellement aux vieux débat fondamental de l'intelligence artificielle : la machine peut-elle penser ? Il y a plus de 50 ans, Turing disait déjà que c'était une question mal posée... avant d'y cosacrer un substantiel acritle et de conclure que la réponse ne se poserait même plus dans 50 ans ! Alors, pourquoi ne pas changer de question et se demander si la machine peut peindre ?

Chose curieuse, la question a été rarement posée. a la différence de la musique, omù l'automatisation de la composition harmonique a été activement développée par Barbaud et Xenakis.. à des conclusions plutôt négatives finalement. Barbaud n'est plus sur cette terre pour faire avancer ses idées, et Xenakis a plutôt cherché à utiliser l'ordinateur comme une aide à la création, ce qui n'est pas la même chose. Les travaux de l'Ircam ne vont guère dans ce sens non plus (pourquoi, d'ailleurs), en revanche ils explorent la voie de l'accompagnateur, ou du jazzman automatique.

Pour Roxame (comme pour les programmes de Barbaud), pas de compromission : elle doit peindre seule. Son auteur n'a d'autre privilège que de choisir les oeuvres qui méritent d'être conservées. Et encore, ce rôle ne devrait être que profisoie. Roxame devrait pouvoir s'intégrer suffisamment de critère d'évaluation pour ne présenter à l'extérieur que des suffisamment "bones" pour laisser le jugement final aux amateurs et au marché de l'art.

Dans cette optique, Roxame propose une nouvelle version du test de Turing : si le public considère ses oeuvres comme aussi intéressantes, originales, "artistiques" que celle d'un peintre humain, il faudra pousser la réflexion sur la valeur spécifique de l'homme.

Dans cette perspective, le premier devoir de Roxame, c'est de plaire ! Cet objectif pourrait même se suffire à lui même : si elle donne du plaisir à ses spectateurs (sans parler de son auteur), elle n'a besoin d'aucune autre justification. Et mieux encore si, trouvant un marché, elle se suffit économiquement à elle-même. Les préoccupations philosophiques pourront alors paraître superfétatoires, tout en étant mieux encore satisfaites.

Mieux vaudrait donc contineur à programmer Roxame que perdre son temps à philosopher  sur sa vie et ses oeuvres ! Mais la programmation fagiue, et l'ordnatuer n'est pas disponible partout et à toute heure.

Ce débat se renouvelle avec les thèses post-humanistes. Pour cette école, la fin de l'histoire annoncée par Fuyukama n'est que l'oeil du cyclone en attendant l'arrivée du "successeur" annoncé par Jean-Michel Truong ou, plus positivemnet, des nouvelles formes de l'humanité aonncées par Teilhard de Chardin (qui parle bien peu d'art) , Lyotard, Asimov.

Roxame, en quelque sorte, serait l'avant-garde du Successeur. Encore bien humaine, pourtant !

4.4. Roxame et le réalisme

Roxame, c'est aussi une réflexion sur le vieux problème du réalisme en peinture, cette longue marche des primitifs à l'art contemporain, en pasant par les classiques (impressionnistes, cubistes, modernes en général).

Car Roxame peut parcourir tout l'espace qui sépare, ou mieux, que génèrent, comme deux axes cartésiens, la photographie et la construction abstraite.

J'ai commencé par le volet abstrait, avec des génératuers de formes et de couleurs de plus en plus sophistiqués. Couvrir toute la surfaace d'une couleur simple. Génrer des lignes, des rectabnels... étoffer la palette des couleurs, le jeu des mélanges additifs et soustractifs, allonger les séquences de génératino, découpe de l'espace en régions, travail différencié à l'intérieur de chaque région.. puis étoffer un langage de description des formes et de leurs combinaisons.

Le jeu devrait conduire à l'élaboration d'un modèle de l'ensemble des formes cnnues et à leur mise en oeuvre.

Vinci : le peintre devrait tout savoir.

Toujours en partant de là, le modèle pourrait s'intégrer une connaissance, toujours formellemnt exprimée, mais concrète, de l'univers tel qu'il "est", avec un système d'information géographique, un modèle numérique de terrain pour générer des paysages.. la plage d'Etretat, par exemple... un fichier anthropométrique des personnes associé à un modèle général du corps humain (sans compter les animaux, végétaux et minéraux).

Mais, toujours en partant de l'abstrait, Roxame pourrait chercher à modéliser ses émotions, en partant d'un fihcier qui décrirait sa "personnalit", préciserait ses états d'âme en fonction de la saison,de lheure, du jour de la semaine, voire (puisque c'est une feme), de son cycle mensturel, et finaliserait le tout en fonction d'événéments extgérieurs, que ce soit la météo locale, les informations du jour ou les attitudes de ses interlocuteurs.

En partant de l'autre versant, Roxame travaille à partir d'une photo. La photo numérique, facile à faire aujourd'hui avec un appareil ou un scanner. On peut commencer par de simples jeux sur le ton, la saturation la luminosité (trilogie HSV, hue, saturation, value).

Aller ensuite vers la pixellisation... et tout le jeu des "filtres" que proposent des logiciles comme Corel ou Photoshop.

roaxme sait aussi recadrer des photos, actuellement autour de zones ayant des caractéristueiques intéresantes (couleurs claires et saturées, par exemple).

Et mieux encore, elle transforme en "peignant", c'st àd ire en faisant des touches.

A partir d'un "certain moment", le résultat comence à etre perçu par le spectateur comme une peinture, et non plus comme une photo travaillée. A quel moment, justemnet ? C'est une des questions que Roxame pourrait permettre de préciser.

Au pasage j'ai le plaisir de retrouver des moments de ma propre existence de peintre. Par exemple, en faisant monter la saturation d'un paysage, apparaît très souvent, automatiquement, le violet cher aux aqurellistes traditionels. Ou bien, en pixellisant pas trop maladroitemnet, les effets des pointillistes, de Cross en particulier (si la saturation est forte).

Ainsi se dessine l'espace où Roxame pourrait choisir son style, ou la gamme de ses styles, où l'on pourrait décliner la famille étymologique du réalisme.

4.5. L'espace ouvert entre photo et abstraction

L'espace ouvert entre photo et abstraction s'avère donc immense et fertile à la fois. Comment l'explorer ?

Ma démarche a été dans l'ensemble tout à fait empirique, intuitive. J'ai cherché à faire du beau, à plaire. Mais deux mots reviennent en permanence dans la démarche : le hasard et la règle (ou le canon exthétique). Il n'est pas fortuit que je paraphrase ainsi le tirtre de ...Monod, Hasard et nécessité.

La science cherche les règles, les lois de la nature, ce qui fait qu'elle subsiste. L'artiste cherche des règles normatives, constructives, celle qui lui permettent de faire des oeuvres toujours plus belles, toujours plus impérissables.

Dans la construction de Roxame, les deux progressent de pair. Dans un espace vide, une toiele, toute blanche aux mains d'un peinte innçcent, il n'y a rien à dire, rien à faire. Il faut des règles qui portent la démarche, comme les règles de l'Alexandrin aidaient hier le poète à s'exprimer.  Plus le jeu des règles est riche, plus l'espace de création devient passionnant.. à condition que l'artiste soit assez fort pour les dominer, sans se laiser écraser par elles.

Certaines phases majeures du développement de Roxame ont été marquées par une nouvelle montée de l'aléatoire. Dans les versions anciennes, je concevais le processus de création comme une séquence déterminée d'opérations déterminées en forme et en couleur, le hasard n'intervenant que dans le paramétrage en position. Puis, même les couleurs étaient défines dans la squénce : faire un rectangle bleu, trois cercles jaunes. Puis les coleurs ont pu être laissée au haser, d'abord dans la palete des 16 couleurs VGA. Puis les choix même de formes ont été laissé au hasar (faire en moyenne une fois sux dix un rectangle, neuf fois un cercle),

Il faut dire que le choix au hasard entre une série de valeurs est particulièremnet aisé pour un oardinatuer, alors qu'elle est longue et fastidieuse "à la main". Cele permet notamment d'introduire de l'alaé au niveau de chaque pixel (640;480 dans la version actuelle), ce qui serait épouvantablement ennuyeux à faire manuellemnt.

mais il vietn un moment où trop de hasard tue. Un nombre élevé d'opérations est tout simplement sans effet (on écrit noir sur fond noir), ou destructif (alors que l'oeuvre est près de son achèvement, le hasard fait appliquer partout une couche unie).

Le hasard, c'est aussi la possibilité de la surprise. Les mauvaises, les ratés, ne manquent pas. Mais les bonnes paient pour la peine. bien sûr les succès résultent directemnet d'un effort, donnent le plaisir naturel d'un objectif ateint. Mais l'écrant tout à coup éclairé d'une image imprévue, jolie, évocactice, voilà la vraie récompense.

Le premier remonte aux premières versions de Xam, où  une fonction de morphologie mathématique (j'étais loin de connaître ce mot savant) a fait nâtire une sorte de cristallisation colorée d'un bel effet, totalement inattendu, non recherche. J'ai essayé ensuite de l'exploiter, mais il restait monotone.

Puis quelques oeuvres de Roxame, en particulier Débarquement  :                          

                            

J'en attends de plus belles pour l'avenir. Plus profondes, en quelque sorte moins dues au hasarr, et plus à la puissance de conception de Roxame.  Un peu comme la première initiative réussie d'un fils ou d'une file : à la fois le prolongement de soi et l'apparition du tout autre.

//hiérarchisation des interventions du hasard

- jeux de trames, irisation, textures aléatoires

- ..
- sélection du type d'action, du niveau de réalisme

***

Construirre pour quoi ? A partir de quoi ?  Si l'onv veut imiter un artiste humùain, il faut partir de l'émotion, tout particulièrement face à un spectacle, une image.

C'est le genre de questio qui reste à travailler. coment pourrait-on l'aborder ? Autant dire : Roxame peut-elle aider à comprendre non seulemnt l'art, mais aussi le beau, le sublime ?

hasarde de ced qu'on trouve, hasard dans la démarce de l'auteur lui-même. On suit uand ça marche

4.6. 21/8/2001

Roxame est en forme, me fait beaucoup de bonnes surprises. Et pourtant nous sommes loin d'une optimisation, je n'ai presque pas mis de canons esthétiques. Le minimum pour que la variété s'exprie, ne s'auto-détruis pas.

Vraiment, il en sort autre chose que ce que j'y mets. Paqr exemple le tableau sur Marithé sorti ce matin, totalemen inattendu. Et il lui a plu.

Souvent, la beauté (et la bonne surprise) naît soit d'erreurs, y compris d'un manque d'encre dans l'imprimante. aussi des limites /défauts des fonctions de hasard. En particulier mon espèce de piorique, variante de la fonction L, avec reprise plusierus fois de lignes entre le mmême point de départ et le même point d'arrivée.

Mais après tout, le paysagiste ne cherche-t-il pas le spoints de la nature où il y a une bonne coincidence entre les lignes et volumes pour que ce soit joli ?

Ce qui est plaisant, enthousiasmant, c'est d'avoir déjà des choses intéressants, surprenantes, alors qu'il rsete encore tant d'espace "devant"
- symétries et autres transformations mathématiques (translations, inversions, transformations ffines, etc. )
- traitement des images externes
- objets. à la fois de petits objets scannés et de petites constructions
- fonctions d'évaluation
- calculs de position, "harmonie" sur formes et couleurs
- sophistiation de la base de connaisances/ontologie
- variations ubris/récursion centrale

Il faut dire que les fonds dégradés (fonction f), qui pourtant ont demand bien peu de lignes et de temps, ont beaucoup améloré l'allure des imges. Mais il fallait pour cela avoir dépassé des caps difficiles : gestion des régions (c'est loin d'être encore parfait), et passage du RGB au HSV.

Une partie du secret de réussite vient d'exploiter la finitude. px sur le nombre de régions, et le nombre de points dans xLineTo.

11/9/2001

On passe de paramètres technologiques (RGB) à paramètres plus techniques (HSV), et on pourrait aller vers plus sensuel, intuitif  (chaud/froid, contrasté/nuancé).

Une surprise : mache assez bien sans avoir de calculs d'harmonie, de mesure. Mais il y a mes choix implicites.

4.7. Roxame Vs. un peintre humain. La concurrence

Concurrence, éléments quantitatifs.
Capacités respectives. Coûts. "Sens".
Relation de l'acheteur de peinture avec le peintre.
Relation art vs. nature

Avantage d'exécution rapide, répétition sans problème

Possibilité de précision, en particulier texte

Réactions de peintres humains à la Maison d'Art :
- si c'est de l'ordinateur, ce n'est pas de l'art
- vous allez tous nous mettre au chômage, avec votre robot
- Wahl : si c'est toi qui choisis parmi les oeuvres en sortie, alors c'est toujours de l'art (parallèle, réflexion de JP Bois sur un évaluateur des poèmes de Balpe)

Possibilité de calculs mathématiques complexes.

Morphismes.

Comme Roxame ne voit pas à proprement parler, et en plus est évaluée par des humains, elle sera toujours comme quelqu'un qui parle dans une langue autre que sa langue maternelle. Il court toujours le risque de laisser échapper le détail, le faux ami, qui gâche tout le reste.

Modèles :

- Humanisme. La machine est absente, ou secondaire. Nietsche, Hitler, Le surhomme o Darvin, le comunisme, les lendemains qui chantent. On progresse par l'élite (experts, et surtout saints, héros, corps d'élite) mais aussi par l'amélioration de la masse (hygiène, éducation)

- Rationalisme. Les machines sont plus présentes. Descartes, Lumières. Démocraties. On progresse en faisant de meilleures structures. Débouche éventuellement sur post-humanisme.

- Absence de perspectives. Renoncement, fermeture sur protection de l'environnement, le local, etc.

Moi je n'ai pas une position tellement volontaire , héroïque. Pour une part, je ne ne fais que décrire cette montée, d'y participer un peu (journalisme, Roxame), plutôt par plaisir que par devoir.
Pour que mes idées passent, faire des peinture qui émeuvent. En octobre 2001, j'ai déjà en partie réussi, au moins à plaire. Mais, à juillet 2002, je n'ai toujours pas réussi à vendre !
Roxame plaît en partiee en masquant leur origine informatique. Du beau papie à grain, profond, plutôt que glacé photo.
Paradoxe de Roxame : fabriquer un être pour qu'il devienne indépendant. Toujours le mythe de Pygmalion.

Pour un peintre humain aussi, le hasard joue, la dialectique hasard/contrôle
- ce qu'il voit (endroit, moment), soit par les hasards de l'existence, soit par un acte volontaire (voyage, travail dans un atelie, avec un modèel)
- ce qu'il ressent (états internes);
- aléas de l'exécution : maladreses, effets inattendus, grain du papier ou du bois

le peintre humain procède par tests successifs

Roxame pourrait aussi servir à comprendre les peintres, en proposant des analyses paramétriques de leur style,de leur processus de création.

Un peu comme l'archéologie expérimentale.

pPresque accessoirement Roxame pourrait servir à l'analyse du travail des peintres réles. Cherhant à imiter, à recréer, le travail de tel peinre (Mondrian, Van Gogh, .) ce serait fondamentalemnet un oyen, de le comprendre et de la caractériser, un eu comme l'archéologie expérimentale cherche à comprendre la vie des hommes préhistoriques en reconstituant leurs procédés.

4.8. Autres générateurs graphiques comparables

Autres logiciels générant des images à partir de texte, base de données
traitement de texte, Postscript, tableur même en fonction simple
générateur de partitions musicales
Kartoo, Umap
GUI en général (depuis le Parc)
Browsers
Cirad
Xe Parc (interfaces 3D por la bureautique)
Générateurs d'arbre généalogique
Certaines CAO (dispos chimiques de ... )
Présentateurs graphiques de programmes. ex. Cast et son Application Mining Suite (LMI 6/7/2001). Outils mathématiques (Mathematica, etc.). Outils statistiques.
Graphiques Excel. Graphes de Kiviat. Synoptiques dusine
Progammes de maths etc. montrant les formules
Analyse données, nuages à la Benzécri
Visualisation de capteurs au Cern. Cependant ici l'ontologie sous-jacene
Xan, Howard Cohen

5. Histoire de Roxame

Le projet de Champéry. Implémentatio par Yves

Aspects IA

Pierre Berger a toujours cherché à “rendre les machines heureuses”. Dans cet esprit, il aviat créé, en 1979, un “robot égoïste” qui écoutait la radio ou faisait de la musique “selon son bon plaisir” ou, plutôt, selon une recherche constante de changement. C’est pourquoi il s’appelait “Max”, pour “maximisation de variété”.

Puis repris  pour m'exercer en C. (1992 je crois)
Puis ligne de commande avec fonctions à aléa inclus (p, P,...), puis script, puis aléaRoxame

Roxame comme autonome. L. Xam, Houlgate (1992 sans soute)
voire dominatrice.

Roxame est la petite soeur de Max. Née en Normandie pendant les vacances de l’été2001,dans nouvelle optique.

On ne lance jamais Roxame à partir de 0. Elle a sa culture, un certain catalogue

idéalement, connexion Internet, on se réfère toujours à elle quelque part

Roxame gère des pixels, ees fonctdions peut fixer des styles, y rester ou en sortir

Impressionnant: je ne sais pas ce que je cherche, mais je trouve tout le temps du nouveau.

Surprises : effet psychologique très fort de la symétrie

Dialectique constante entre grandes idées philosophiques et problèmes techniques de bas niveau (y, filler).

Mi 2000 : Echec de mon livre J'évolue vers le post-humanisme Faire de la philosophie par d'autres moyens grâce à Roxame.

Roxame comme prouveur du post-humanisme

6. Pour réfléchir à son sujet. Philosophie, concepts fondamentaux de l’IA

On peut s’intéresser à Roxame uniquement comme un moyen d’expression comme un autre,  quoique médiatisé de manière particulière.

Qu’est-ce que la beaut ? Et l’émotion ? On débat, dpueis au moins un demi-siècle, pour savoir si les machiens pensent. Pourquoie ne pas se demander aussi si elles “sentent”. Elles font de mieux en mieux semblant, en tous cas, come le montrent les “robots de compagnie” qui se multiment dans les vitrines de magasins, tout particulièremht au momnet des fêtes .

Mais est-il impossible d’aller plus loin ? La question reste ouverte. Et passionnante.

On peut aussi la voir comme un terrain d’expérience poru l’intelligence artificielle: jusqu’où peut aller une machine. Peut-elle penser ? Et même, avoir des émotions?

Test de Turing.

On peut s’intéresser à Roxame uniquement comme un moyen d’expression comme un autre,  quoique médiatisé de manière particulière.

Qu’est-ce que la beaut ? Et l’émotion ? On débat, dpueis au moins un demi-siècle, pour savoir si les machiens pensent. Pourquoie ne pas se demander aussi si elles “sentent”. Elles font de mieux en mieux semblant, en tous cas, come le montrent les “robots de compagnie” qui se multiment dans les vitrines de magasins, tout particulièremht au momnet des fêtes .

Mais est-il impossible d’aller plus loin ? La question reste ouverte. Et passionnante.

On peut aussi la voir comme un terrain d’expérience poru l’intelligence artificielle: jusqu’où peut aller une machine. Peut-elle penser ? Et même, avoir des émotions?

Test de Turing.

fin mai 2001 : Il y a de l'illusion dans mon projet Roxame. La joliesse de l'impression masquant le vide d'émotion, le manque de conscience derrirèe.

Ce qui est vrai, par contre, c'est l'analogie avec la beauté naturelle, les hasards d'une gemme

Recréer le vertige de l'art (Nietsche) dans le travail de Roxame

formellement

une longue et passionnante quête

chercher l'art dans la difficulté même de construire les règles, incertitudes et contradicions

le placement, le calcul, l'interstice

formellement, la crainte née du vertige de la récursion. C'est pourquoi le texte est si important là dedans

et le programme comme texte

Bois : trois phases de l'iA

- artefact, phase cognitiviste

- neuronal

- darwinien

7. Etat actuel

Roxame a pour premier désir de séduire, de proposer de belles images, qui “plaisent à voir”, comme disiaent les philosophes classiques. Mais qui-est elle ? Ni une femme en chair et en os, ni le pseudonyme d’un (ou d’une) peintre.

Roxame est un logiciel, fonctionnant sur un ordinateur standard (PC sous Windows dans la version actuelle), et créant des oeuvres sans intervention de son auteur. Bien sûr c’est lui qui a écrit,e t qui continue de développer le progarme. Mais, une fois la machine lancée, il s’interdit de prendre part à l’élabortaion de l’oeuvre. C’est le programme qui la conduit jusqu’à son achèvement. Y compris l’affectation d’un titre, la signature et la datation.

N’esayez donc pas de deviner, derrière tel ou tel trait, telle ou telle nuance, l’intention ou l’émotion, conscience ou inconsciente, du père de Rowame. Cherchez-y plutôt la beauté, un peu comme dans ces “pierres à paysage” ou ces bois flottés dotn la forme ou la couleur éveille votre imagination et votre sensibilité. Une oeuvre de Roxame doit beaucoup au hasard, mais certes un hasard guidé par des règle. Sinon elle ne produirait que de la “neige”, comem sur un téléviseur sans antenne.

4.17. La programmation

Dans son état actuel, Roxame est un programme de taille modeste (environ 4000 lignes) écrit sous Windows avec Borland C++ Builder.

Il pourrait être souhaitable, pour constituer une communauté de développement en milieu universitaire, de le reprendre en C++ sous Linux, à condition de trouver un éditeur approprié.

Cette conversion n’est cependant peut-être pas indispensable. En effet une bonne partie du code de Roxame se compose de fonctions utilitaires, propres à son environnement. Les fonctions intéressantes sont du code C++ utilisant peu de classes particulières, et il pourrrait être aussi simple de les intégrer par couper-coller, avec les modifications nécessaires, dans des programmes écrits par chacun pour son environnemnet particulier.

Les fichiers acceptés et produits par Roxame sont des BMP. L’interfaçage se fait actuellemnet manuellemnet par un logiciel quelconque (Ulead Photo....) ou PaintBrush.

Roxame ne comporte pas non plus de routines d’impression (bien que cela soit sans doute relativemnet facile à faire avec l’outils de Borland), et on imprime à partir du logiciel d’éditions d’images. A cet occasion, on peut faire quelques ajustements pour tenir compte des caractéristiques du papier et de l’imprimante.

A ce niveau d’environnement, il faut avoir au moins

- les fonctions de lecture et d’écriture de fichiers sur disques

- la petite base de données

Les algorithmes

Roxame fonctionne à deux niveaux, qui pour l’instnat ne sont pas séparés de manière étanche, car il n’y a pas d’éditeur de scripts, et par conséquent toute modification des scripts oblige à une nouvelle compilation de l’ensemble.

- Scripts

Primitives. Ces fonctions sont des opérations appelées par les scripts. On peut les classer en :
. fonctions de service : fichiers, enchaînement, commandes au clavier
. fonctions proprement garphiques, classées en générateurs de lignes (ou formes creuses), formes pleines (surfaces), régions

Ces primitives sont paramétrées :
taille

Concept d’emplacement et de région

Emplacement

Fait pour pouvoir combiner et associer plusieurs formes. On se positionne par rapport à cet emplacement, qui est modifié ou non.

Région

Ici, l’important est que la forme globale est découpée en régions, numérotées. La plupart des fonctiosn graphiques opérèent à l’intérieur d’une région.

La forme d’une région est quelconque. Cependant la plupart des fonctions ne s’y repèrent qu’en la considérant comme un rectangle.

Les formes générées peuvent êter ou non arr^tées aux frontières de la région.  (clip)

Et si on n’en sait rien, jusqu’où peut-elle donner à ceux qui regardent ses oeuvres, à ceux qui la regardent travailelr, ‘limpressio d’être elle-même une “artiste” et pas simplemetn un “pinceaau”  ou un méta-pinceau.

Qu’est-ce que le beau

4.18. Les premiers enseignements

D’abord c’est possible : des gens aiment, une galerie l’a accepté

Ensuite, même sans formaliser les règles esthétiques

Il y a beaucoup à faire “devant”

4.19 Coopération et développement

outils graphiques, plus de finesse

3D

fonctyions intellignes, programmation par contraintes

émotion

apprentissage

liaison avec du texte

6. Pour en faire un logiciel diffusé

, et pouruqoi pas commercialisable

Il faudrait un éditeur de scripts suffisamment convivial. Sans doute laisser à l’utilisateur non-puriste la possiblité d’intervenir, et même de plioter Roxame au coup par coup autrant qu’il le voudra.

Pour faire de nouveaux scripts, de nouvelles oeuvres

Atelier d’artistes. Coopération pour diffuser les oeuvres, exposer, galeries,

Scirpts plus complexes, scénarios. Ex : triptyques, BD

Un des charmes de Roxame, c'est qu'elle appelle en général des commentaires intéressants. J'ai été fortement déçu par le peu de retours sur mon livre, il y a deux ans. Avec Roxame, les langues se dénouent plus facilement, et avec des gens très différents.

Sur les tiens, à a fois humoristiques et pénétrants, quelques éléments de réponse.

- Sur la tendance droitière : il ne serait pas difficile de la rendre gauchiste, en changent un ou deux paramètres (c'est quelquefois ce qu'on se dit aussi en politique, d'ailleurs).

- Sur le comportement eugéniste du père, qui envoie les avortons à la corbeille,  j'avais prévu très tôt d'intégrer à Roxame des algorithmes d'évaluation. une bonne partie des rejets sont dus à des critères assez faciles à détecter (image trop uniforme ou au contraire trop bariolée, par exemple) ; donc Roxame pourrait éliminer naturellement les embryons les moins bons.

Dans une certaine mesure (mais pas toujours), ces critères peuvent être intégrés à la conception, de façon à produire directement des "bons". Je comptais développer très vite une conception en boucles  génération de forme/évaluation/ continuation-reprise en arrière...

Mais une de mes surprises a été de voir que j'obtenais plus vite des images intéressantes en perfectionnant les générateurs qu'en travaillant sur les filtres. J'ai donc remis ce point à plus tard.

Sur ISO 9001, je n'ai pas encore lancé un processus de qualification Afaq. Il faudra d'abord qu'elle vende pas mal d'œuvres pour rentabiliser l'opération. Mais qui sait. Réciproquement, peut-être verra-t-on les versions  9000-2005 ou 2050 intégrer des critères esthétiques mis au point avec Roxame version 18.4... Dassault disait "Vilain avion ne vole pas bien". Un jour on dira "vilain processus ne fonctionne pas bien" et on commencera par le visualiser en Roxame pour s'en faire une idée. Alors, les abondantes royalties que touchera Roxame lui assureront une existence confortable, pendant que son papa étudiera l'esthétique des racines de pissenlit vues par en dessous.

 

 

ANDLER Charles : Nietzsche, sa vie et sa pensée. Gallimard 1958. Tome 1 page 233 :

"Il n'y a rien que de nécessaire dans l'art, et cette nécessité peut être aperçue par la raison. C'st la nature qui a la plus grande part dans les grandes oeuvres de la plastique et de la poésie. Elle est source de nouveauté éternelle".

Tome 1, page 243, à propos d'Emerson : "Or, comme la morale d'imitation n'est pas de la morale, ainsi l'art d'imitation n'est pas de l'art. Il faut parler du dedans. toute virtuosité imitative est vaine au regard du sentiment profond, devant la simplicité forte du verbe intérieur".

Histogramme

ex. une petite région rouge vif, doit donner un petit paquet sur histo, donc risque d'être éliminé à 20%, pour le consrver par exempe cérer un indice de compacité proche de connexité)

pour le garder : soit une deuixème coordinné du genre histcomparc[v]

soit utiliser nox de manière ad hoc

Sémantique. Emergence quand, entre entrées et sorties, il n'y a plus une relation tiviale, que va plus loin que réflexe ou simple "effet signal",

il y a du sens quand il y a une certaine "réflexion interne"

a fortiori quand il y a un "moteur" interne, que l'on peut considérer comme évaluant, interprétant les entrées

En quoi Roxame pourrait faire des choses plus intéressante ?

- pas de tabou

- travail non biaisé sur imge

- précision pattern

- hyper-réalisme avec modèle 3D

************ 8/2003

Pour l'artiste classique, la recherche va de pair avec l'exécution, chaque oeuvre est une phase de recherche, tant que l'artiste n'a pas fini sa technique et n'est pas devenu un artisan.

(id pour tout "art", ébénisterie, saboterie ; la transition était bien exprimée par la réalisation du "chef d'oeuvre".

cependant on peut admettre que l'artiste, une fois fixée sa technique, son style, sa manière, pouvait continuer à créer, à faire de l'inédit à partir de ses sujets : portait de Mr Ingres

Pour Roxame, la recherche est antérieure, une technique se définit et se reproduit ensuite. machinalement.  L'investissement est consacré sur la première oeuvre (Volle)

En fait c'est seulement en théorie, tant que que Roxame progresse plus vite que sa production "industrielle"

Schaeffer :

présentation Vs représentation.

performance ? homme à homme, objectivable ?

le bit à la racine du qualitatif et du quantitatif, indifférencié

mais dans un processus "humain" d'évaluation, qualitatif et quantitatif sont des processus très différents, avec peut-être des zones cérébrales différentes (calcul/plaisir)

privilégier Rosame, oeuvre abstraite/concrète

par rapport à théorie de l'art, dont il y a pléthore

Dès qu'on verbalise, (conceptualise pour les philosophes après Kant), on perd la transcendance. On la retrouve par récursivité : aséité de Dieu (anankè stenai)

mais la récursivité ne fonctionne qu'imparfaitement, qui si le verbe est totalement digitalisé, dégagé de toutes ses adhérences analogiques

mais la machine aussi peut être récursive si elle est digitale

(et en qq sorte dans la mesure même où elle s'affranchit de l'analogique

(... de la matière)

ce qui ne s'atteint qu'avec la digitalisation

et encore celle-ci est toujours imparfaite ;

relativité digitale. il faut toujours un peu de matière pour tenir les bits ensemble. Je ne dis pas cela nécessairement par référence à des dispositifs concrets, existant,

mais la matière comme extérieure à l'esprit

les bits ne contiennent pas en eux-mêmes les liens pour s'organiser

en revanche, ces liens apparaisssent avec des ensmbles de bits suffisamment plus grands pour pouvoir se faire référence, porter des adresses, etc.

encore qu'il faudrat tj qqch d'extérieur pour faire fonctionner cela

Les arts autres que la littérature et la poésie, en particulier la musique et les arts plastiques, la danse, expriment sans verbaliser

donc ils sont analogiques et ne donnent pas la récursivité

il faut choisir entre la fusion analogique, mais qui conduit à la terreur (Schaeffer) et la rupture digitale (rationnelle)... qui conduit aussi aux horreurs, sans doute

Le gros défaut de mes théories (l'informatique libère l'humain) c'est qu'elles sont sans espoir. La dialectique digitale n'a pas de point d'arrêt, et s'il y en a un ce serait plutôt assez horrible, à la Truong ...

Il y a une évidence : on ne peut accumuler que des différences

et l'addition ne se fait sans perte que pour le purement digital

********

Digitaliser, ramener les concepts de l'art et du beaux à leurs constituanta se base

il faut plusieurs bits : avoir un bit, même de poids fort, n'est pas avoir toute la chose

(certains de ces bits ne sont pas propres à l'art.

réciproquemnet, on peut appliquer ces bits à toute activité humaine pour lui donner un côté artistitue. du "style", un dépassement du fonctionnel

de l'action à la norme, à la règle, aux èrgles...

le bit décisionnel de ce qu'est l'art : Duchamp le pousse à son terme. Le type avec les poissons va encore plus loin (non seulement c'est une libre décision, mais elle peut être violente)

Yahweh. position de la transcendnce dans la forme radicale de récursivité. Et ensuite interdictino de prononcer le nom

le bit plaisir de voir : beau (Maritain, St Thomas).

il est démagogique

pyramide de Maslow.

le bit représentation (de la nature, des sentiments). L'art montre. Celui-là est le plus mis en cause par la photo.  Ce bit toujours faible pour la musique.

l'art autotélique. Le jésuite.

résonance inédite, donc deux bits :

- inédit. a du sens seulement si on peut comparer, voir ce qui est nouveau (va de pair avec le problème de l'accumulation). Si on n'est pas dans le digital, si on cherche le fusionnel, il n'y a pas de mouvement, pas de nouveau, pas d'inédit, pas de beaux arts

- résonance

intention : de plaire, mais art pour l'art

la résonance peut être entre un humain et la nature,

un humain et une oeuver d'art

- le bit refus de la raison discursive pour une "présentation" de ce qui n'est pas conceptualisable.

Lyotard E22. Concevoir et pas voir. Ce n'est pas cela. Je dirais plutôt : éprouver et nons pas exprimer verbalement. Plus précisémnert : dans une linguistique normale (courante), a fortiori formelle

pour Lyotard . faire voir qu'il y a des choses non présentables

(sensations. Mais aussi le soupçon politique ? ).

pour qu'il y ait résonance, il faut qu'il y ait une source d'énergie pour l'entreteni ; elle peut être faible s'il n'y a pas de dissipation

et un dispositif "mécanique" approprié

l'art pour l'art, c'est la résonance pour elle même (Helmholtz)

mais la résonance fondamentale, c'est l'horloge

au coeur de tout système, permettant la récursivité

toute résonance est autotélique, récursive.

l'inédit introduit une historicité

la nécessité de l'inédit montre aussi que, pour les humains, une résonance finit par s'user

ou si l'on préfère, toute résonance n'est pas agréable (Larsen, maladie de Parkinson) ; il y a le moment où on veut stabiliser

cela peut se faire par passage au méta : je désigne la fréquence, voire le timbre (et autre paramètres intéresants) de la résonance

Lyotard(enfants) 20. résonance entre humains, sans référence à qqch d'autre

ces bits sont pour une part négation :

- de la nature par la raison, les langages formels, les machines

- de la raison par l'art, la poésie (revendication de l'analogique, de l'intuition), l'art non linguistique. cri.

- de l'existant par l'inédit

- de l'inertie par la récursivité

- de la volonté individuelle de maîtrise par le marché et la démocratie

chez Lyotard, l'art est aussi négation du discours politique (les avant-garde), par l'expression d'une pure liberté. Duchamp est totalemnet autonome. L'acte gratuit de Sartre.

les arts se déploient dans le système sensori-moteur. Il ne faut pas (pas trop) cherche des hiérarchies aussi puissantes que le veulent Hegel et les autres, sinon dans les capacités plus ou moins puissantes (bande passante) et digitalisantes des différents sens;

Lyotard 19. Le consensus

une résonance simple entre la volonté de création de l'artiste ert celle de son public, qui veut le reconnaître comme tel. Les fans font la vedette autant que le contraire (?)

Style : je cherche une défintion objective (dns l'oeuvre). Il faudrait traiter aussi les aspects subjectifs

***

Sur machine et peinture page 6copernic

Il y au des vexatstions avant la photo.

La perspective met le moi au centre du monce

Darwin, pas clé pour la peinture, sinon que l’autonomie du tableau lui permet de rentrer dans des jeux darwinients du marché

Freud. Un peu autre chose quand même

Dans une couche d’exécution, on a une sorte de déstructuration. On va vers le binaire pur. Cela correspond à une localisation, par des adresses et des séquences dans les mémoires internes.

Le logiciel traduit les données en entrée dans l’espace de la machine. On les met à plat dans la mémoire centrale ou les disques durs vus comme un espace unique.

Cela permet cette expression générale très simplifiée qu’est l’automate OIE.

La très grande mémoire interne, un pla de spaghettis..

De grands espaces blancs,

On met à plat, les représentations pour reconstruire avec des structures internes, voulues (arbitraires)

On normalise, on se débarrasse du poids de la matière, de structurations anecdotiques et sans intérêt pour en mettre qui soient significatives, en tous cas d’un point de vue opérationnel.

De même qu’on malaxe l’argile avant de la modeler et dela cuire, qu’on fabrique soigneusement du papier blanc.

Miniaturisation et formalisation ont le même objectif : rendre maniable, mobiliser.


Structure. Variables, fonctions (données, contrôles)

Si l’opération porte sur une représentation, le jeu des opérations dépend de la machine, du processus qui s’en sert.

Une image n’est qu’un blob si on ne connaît pas son format ou si on n’a pas un logiciel qui sait le lire.

Le traitement d’une image : Mais ensuite il va y avoir des degrés

Qui vont dépendre de la machine utilisée
- en programmes, pex avec header, affichage,
            - avec Photoshop, édition
            - avec reconnaissance de formes

en données externes que la machine peut avoir sur cette image, par exemple sur les gens qui y figurent

tout élément contextuel, par exemple la date du fichier, le répertoire, la machine où elle se trouve, peuven tprendre sens, être exploitable

Eventuellement cette image peut elle-même être considérée comme un programme,

Quant à l’utilité, elle dépend aussi des moyens d’action que le système a sur le monde. S’il n’en a aucun, même pas celui d’afficher quelque chose, alors, aucune utilité

Descendre dans l’espace de la machine. Dissolution, mais pas un liquide.

Autonomie

A partir du hasard, je devrais pouvoir faire rejoindre les deux volets de ik :  modèle (représentation) et automate

L’autonomie se jouer dans les if

(pas seulement, le random peut être exploité directement)

qu’y a-til dans les if de Roxame ?

-random, keypress, ordre donnés dans « comandes », caractéristiques d’un doc chargé en mémoire, contenu de du dictionnaire, état d’un répertoire

autant que possible, ce qu’il  a dans les if doit venir d’une détermination de Roxame, de ce qui « lui fait plaisir », et ce qui es un optimum

remplacer le hasard par la renconter d’une entité autonome de plus en plus itnresante

qu’on ai envie de creuse sa pesonalité

d’une cdertaine façon, en modelant la personnalité de Roxame plus que ses tableauc, je la rends plus autonome mais aussi plus expressive de moi même

on va pouvoir essayer de comprendre ce qu’elle a voulu dire dans un œuvre

ce qu’elle a vu dans un paysage

on ouvre un intervalle etnre le hasard pur, qui es à la fois le zéro et l’infini de l’information et le totalement déterminé, qui est aussi un zéro de l’information

Conditions pour que ça tourne tout seul ?

- assez léger pour être entraîné par le moteur
- si le moteur est une horloge binaire, il faut que soit digital. Il faut que soit au niveau informationnel, sinon ne se pose pas en termes énergétiques
- si le moteur est un moteur rotatif, il peut y avoir des problèmes de couple

Il faut de toutes façons que cela embraye

Par exemple par l’intermédiaire de l’empilage des logiciels

Avec des contraintes de puissance/capacité (mémoire, traitement)

L’essentiel du structurel est dans le logiciel

Il faut structurer assez pour que ça tourne, et si possible que ça tourne tout seul

Formellement/digital

En quoi le digital facilite que ça tourne ? parce que ça embraye sans problème sur l’horloge.

Mais aussi, pour que ça fonctionne, il faut par exemple des causalités.

La logique, une forme de motricite. Le moteur d’inférence, *

On fait fonctionner.

Le vieux schéma triangulaire des systémiciens, avec sa pyramide et en bas son orientation du processus opérationnel, de la gauche vers la droite

Digitalisation.

La digitalisation est le même mouvement que le découpage en dimensions

Espace des chiffres dans la base de numération. (puissances de 10). Avec orthogonalité parfaite, aucune dépendance entre le chiffre des unités et celui des dizaines !

Par opposition aux objets symboliques des chiffres romains.

On ne pourrait pas manipuler des objets sans découpage, sans digitalisation, au delà de trois dimensions.

Le primitif n’a pas les axes cartésiens.(ni même les Grecs ? )

Pour parler de dimensions on rabat sur la chaîne séquentielle des tuples.

Avec des lois de transformation. 

Sur les représenation 2D fixes :
- la cartographie, la toponymie, la couleur (hypsographie)

L’informatique telle que définie par Giavitto, c’est la systémique à la Blumenthal, et pas comme l’ont formée ensuite les systémiciens français, dans une optique critique (et littéraire …)   

Dimensions

Il faut s’abstaire du découpage naturel pour nous des cinq sens. Il y a dr’auters rayonnements et d’autres découpages en dimensions

L’idée même de dimension est très riche, profonde. Couper le continuum de la sensation.

Il y a des phases où on fait semblant de disposer de l’infini (calcul formel, N, R). Ici il ya une opposition radicale, un saut d’infini quand on multiplie les dimensions

Et des phases où on compte le nombre dei bits, et où l’on peut faire des arbitrages.

Noter d’ailleurs que l’argument de xxx sur le cardinal du segment et du carré passait par une astuce digitale

Arbitrage sur le nombre de dimensions d’une représentation.

Y a-til un optimum « absolu »

A déduire, pour le shumains,  des neurosceicnes,  pour les machines, eut dpendre s’il s’agit de leur fonctionnemnet interne ou de la communication entre ells

A bande passante bgale, choisir combien de dimensions
En digitgal, on pourrait faiclement passer d’un mode à l’autre.

Si on a très peu de bande passante, le 1D et pratiquemnt la seule solution (télégraphe)

Si on en a beaucou plus, alors dépendra des capacités aux extrémités

Le 2D  (texte écrit, vocal, image fixe en particulier)   a de bons arguments poru être le meileur : il est proche du stream théorique minimal, il a une grande variété de structures

Au commencement était le verbe. Dieu dit.

Les définitions de systèmes formels sont textuels. Logique maths, droit

En binaire, l’opérationnel est évident. Le 1D est indiffrememnt temps (stream, canal de com) ou espace (mémoire)

Le 3D ets plus proche de la nature, de notre représentation naturelle.

Avec la varaiante 2D + t  cinéma essentiellement

Et la vriante 3D , sculpture, architecture

L’image peut être tout à fait contemplative. Aussi la musique, pas le cinéma, sauf réalisations particulières mystiques

L’image n’embraye pas aussi directement sur le foncitionnemnet que le texte programmatique

Le 4D comme image représentation

Le théatre, chamans, lirugie, magie

Mais aussi l’automate, le robot, les machines de Tinguely, les mobiles de  Calder

Les arbres sensitifs, la ville cybernétique de Schoffer

Mais ici donc une certaine peur. Résolue en partie par différence d’échelle

Le modèle réduit. Parfois le très gros

Mais aussi le bateau

On retrouve la dynamique de la prothèse 

Le simulateur, le kriegsphiel

La réalité virtuelle (en utilisant la vision binoculaire pour refaire le 3D)

L’espace des sturtures lui-même est une sorte de graphe.

Le  2D y est assez pauvre : les arcs du graphe ne peuvent pas ese croiser

Il faudrait caractériser les structures de graphe possibls, en fonction du nombre de dimensions

L’espace décisionnel est plus pauvre, plutôt en deux dimensions. Le if est binaire

Ou bien acttion non décisionnelle

Je m’éclate, je la baise (ou pas ? ) le tout pour un streaming de code gvénétique

Instinct, animalité g :lbal

Dans la nature, les modes de propagation, et les dimensions (le son  en 2D.

En un sens, la propagation est toujours en 2D : une valeur sur un rayon

Peut être pris en plus de dimensions si on prend tout l’angle solide du rayonnemnet

Le 2D (3D) si papier. Est évidememnt plus réducteur qu ele 3D, notamment avec couelru

Mais on gagne considérablemnet en mobilisation : poids, capacités d’assemblage en livres, impriomerie  

Le1D, au moins binaire. La représentation n’est plus lisible, il faut un dispositif d’interpréation, l’optimal est donc plus haut.

La machine elle aussi va reconsruire du 2D. voir

Le texte est un faux 1D .  

Texte lu, texte écrit.

Le texte écrit : on linéarise la page en suite de carrés, et dans chaque carré on écrit un caractère (code ASCII) 

Décisions dans une image (voir jeux)

De toutes façons, s’il y a digitalisation, il y a coupure.

La digitalisation, ce n’est pas simplement le découpage en bits d’un paramètre continu (la conversion A/D), mais aussi le découpage du temps par l’échantillonnage, le choix d’un paramètre, etc.

La boule diminue. La diagonale diminue en proportion, mais augmente en valeur absolue comme la racine.

Réduction du nombre de dimensions

Les méthodes de réduction des dimensions

En termes continus, le gain en réduisant d’une dimension est infini (un R), sous réserve de la résolution

 

Le compactage de …

Couleurs, cartes hypsométriques

Toute réduction est permise par une régularité, des équivalences. Pex tous les points sur la droite qui passe par l’œil et unpoint de la figure en perspective classique

Ou une division, une mise en facteurs

Reconstruction, regénération

Ensuite, reconstitution du continu, par la permanence rétinienne pour le temps. Par l’interpolation pour les pixels

Pourquoi réduire ? augmenter la mobilité, manipulable

Une forme de compression

Le nombre de dimensions

La nature naturellement perçue,  3 et le tempsUn « record » est multidimensionnel

Il y a les interpolations et les itérations

Sinusoide, alernances ,et c.

La conversion digital analogique, phénomène constant

Dans l’interprétation de la musique : la portée est digitale (pour l’essentiel, sauf nuances), et avec le calvie on passe au morceau

Principalement pa la général de fréquences, itéations sur un intervalle de temps défini par la notation

Ancêtres : l’orgue, le piano mécanique

E pour la partie énergie  l’amplificateur

Rôel du résonateur,

Deux cas, en musique :

-on commande des résonateurs

on fabrique directement l’onde, éventuelleemnt par le tuchement de l’acoustique virtuelle

il faut évidemment aller beaucoup plus vite dans le dernier cas (il faut convertir au rytyme de la fréquence ou double), alors qu’ave synthè/résonateurs, il suffit convertir au rythme de la plus petite note de partition

 On peut faire des arbitrages en shv et les 3 dimensions, mais ne semble pas donner grand chose.

Ce qui est intéressant, c’est qu’on confie à une machine le soit de reconstruire. D’une certaine façons, c’est la définition même d’une machine.

Automate, phono, cinéma. Qui refont la dimension « temps »

 

En fait, un peinture en couleurs, c’est du  5D. xy et hsv.

En revanche, dans le cas ou on a pex xshv  dns xy hb,  on peut le faire en projetant simplement s dans y.

Noter aussi qu’un pamètre de couleur est une fréquence (hue), une amplitude (val) et une pureté(…) sat.

On pourrait aussi avoir des projecttions avec des formules plus compluzéues

Et des solutions par itération, ou par sinusoïde (en qq sorte, le cycle analogique et le cycle digital les plus simples. v

Par eexemple  si hs va dans sv   s = 1000 * (h+s)/1256

Et v =  (255 * h*s)/256000

Kandinsky/Klee, idée d’un mapping direc des réalistes spirituelles sur un tableau

Représentation

Le tableau de bor.

Le monde,  l n’y a pas que le 4D, ni le découpage sensoriel

Il y ales autres longueurs d’onde

Les principes

Comment fonctionne Roxame ? En choisissant, progressivemnet, une suite de frmes. Des traits ou des surfaces : une ligne droite, un triangle, un rectangle, cercle ou ellipse, une région entière en bas ou en haut ou sur un côté de l’oeugfre. Si l’écran de l’ordianteur est allumé, on peut voir peu à peu la peintre se construire et s’affiner, jusqu’au moment où Roxame considère qu’elle a fini son travail, le sauvegarde sur disque et passe immédiatemnet à l’oeuvre suivante.

Chacune de ces formes est d’abord définie par une série de caractéristiques : position sur l’oeuvre, taille plus ou moins grande, proportion plus ou moins verticale ou horizontle, épaisseur du trait t surtout “style”, c’est à dire, en tous cas dans la version actuelle, essentiellement une façon de tirer les traits d’un point à un autre. C’est là, tout particulièremnet, que le hasard et la règle e marient pour chercher le meilleur entre deux extrêmes :

- la ligne, droite ou courbe, pure, mathématique, ausi raide et précise que le permet la précision de la machine (car vous remarquerrez toujours, en regardant de près, que les obliques sont un peu crénelées. Cela peut cependant être effacé dans des impressions papier un peu floues).

- un parcours au hasard dont, à la limite, on n’est même pas sûr qu’une fois lancé à partir d’un point il rejoindra l’autre.

Entre les deux, Roxame peut choisir entre plusieurs formules (algorithmes)  qui expriment une sorte d’incertitude sur le chemin à prendre, limitée par une orientation persévérante vers le but. Cette limite même peut varier en fonction du programme ou de l’évolution de l’oeuvre. C’est ce que Roxame appelle son “ubris”, son “ivresse”. En l’absence d’ubris, la ligne reste pure. Si l’ubris est très forte, la ligne “part dans tous les sens”. C’est souvent alors, d’ailleurs, que Roxame surprend. Quelquefois pour le pire, au point de “planter” son programme. souvent pour le médiocre, et l’oeuvre n’a aucun intérêt. Parfois pour le meilleur, la joie de so progarmmeur et, elle l’espère, de son public.

Roxame dispose aussi d’un certain nombre de foncions pour rendre ses oeuvres plus intéressantest : dégradés,t rames, renforcement de contours... la liste retera ouverte tant que le programme ne sera pas fini, s’il l’est unjour. Et là, Roxame peut mettre à profit sa patience et sa précision de robot pour déployer de technique qui seraient soit impopssibles, soient désespéremtn léasants pour un peintre humain : textures compliquyées, dégradés combinés, pulsations du ton comme de la densité...

Enfin l’oeuvre se termine et, pour l’instant, c’est l’auteur qui reprend le travail accompli, par exemple pendant la nuit ou pendant ses déplacemnets Une bonne partie des oeuvres va directemnt à la “corbeilel”. Quelques une des ruvivante sont alors imprimées, parfois avec des corrections mineures pour tenir compte des limites ou des caractéristiques particuliers de l’imprimante ou du papier. Les meilleurs monten sur le podium, c’est àdire sont montrées au public.

On peut tenter d'affiner le modèle selon le schéma suivant, qui postule que l'oeuvre finale s'obtient en deux phases.

Dans la première est produite une "esquisse" abstraite de l'oeuvre, que ce soit à partir d'un apport extérieur (document, vision) ou d'une génération interne à base d'algorithmes, de facteurs aléatoires et de bases de données, qui peuvent comprendre des patterns mais à la limite aussi des images réalistes).

//où est le style dans ce schéma ?

Idéalement, cette esquisse est "saturée", c'est  à dire qu'elle ne comporte que plus que des codes et un certain nombre de "bitmaps" irréductibles en l'état actuel des connaissances de la machine.

Le schéma entral nst jamais tout à fait algorithmique, encore moins totalement orthogonal. Il y a toujours du formel et du bitmap mélangé.

Dans l'analyse du message original (photo ou aléas si l'on en prend un groupe), revient à fiare un factorisation .

Dans une deuxième phase, à partir de cette esquisse, peut être produit soit un texte (description de l'image, en sortie d'un logiciel de vision, ou d'un générateur de récit...) soit une nouvelle image, par une série de générateurs pilotés à partir de l'esquisse, et ici encore, soit à partir de modèles internes, soit à partir de prises d'information sur le document original ou la vue qui est sous les yeux de l'artiste.

Dans cette optique, Roxame est un outil d'étude pratique, susceptible de formalisation aussi bien que d'expérimentation concrète.

Dans cette optique, Roxame est un outil d'étude pratique, susceptible de formalisation aussi bien que d'expérimentation concrète.

Filtres

fonction générale à deux, trois, quatre points

cas à faire : on coupe aux deux bouts et on réamplifie la partie centrale de la courbe max/min

- typage des actions, notamment en fonction de la résolution et de la palette, mais aussi selon différents types de stratégies choisies (paysage, portrait, abstrait), mais aussi selon  clavier/aleaRoxame/script

Filtres (en particulie sur HSV)

1. filtre local, sur la valeur du point

. décalage (modulo)

. montée, descendre

. normaliser sur une valeur

. seuillages

. permutations

2. en tout point avec son environnement

. moyennage, convolution

.déconvolution (comment onf fait )

. remplacemnt apr dérivées

. sur deus dimensions

peut générer des contours, bizarreries, artefacts

3. global

en x ou en y,

par rapport aux points extrêmes de la région

par rapport aux frontières de la région (ou au rectngle)

par rapport à des points intérssants

Opérateurs

La variété des opérateurs aussi est une richesse.

D'ailleurs limitée à basse res. Voir corrélation.

- opérateurs mathématiques plus évolués que ligne, rectanble, cercle : ellipse splines,

fonctions maths quelconques   : coniques, trigonométriques, etc.

polygones, étoile.

- convexité

- symétries droite gauche, retournements. on pourrait faire des symétries seulement sur une des couches (une des trois couleurs, pourquoi pas sur les régions directement (!!!)

- nombre au hasard  :  100 µ  :  nombre = random(100);

- opérateurs de reconnaissance. au moins reconnaître quelque chose. Ne serait-ce que la couleur : coloref renvoie à une série de mots normalisés

- chargement de bitmaps. ici on pourrait mettre cadrage, au momnet du chargemnt. ne serait-ce que pour se ramener à 640x480

- idéalemetn, il seriat bien agréable de pouvoir charger des jpg

Interface homme-machine

Interaction avec l'utilisateur

8/2002 : très peu avancé, et même régressé. Notamment parce que la multiplication des foncions et des paramètres obligerait à monter vraiment un langage...

Avoir des modes de travail superposant contour[] voire un affichage spécifique de nos[] sans pour autant modifier tab

- travail à la souris : dessin, coopération avec fonctiosn Roxame. ex. contours,

- actions alternées de type jeu ,

- reprise problème de Champéry : faire des tests de reconnaissance, organiser un jeu de ce genre.

- ce qui serait intéressant c'est que Roxame reconnaisse le joueur, trouve des choses intéressantes dans son jeu.

Volet ludique.

1. le gagnant est celui qui parvient le dernier à ajouter de la complexité

2. le gagnant est celui qui parvient à émouvoir l'autre, quand l'autre dit "touché", cèd, ou rit (je te tiens par la barbichette)

Faire un auto-commentateur de l'oeuve "J'ai voulu faire...", couleur, descriptif des aléas rencontrés.

A développer

 

La programmation

Dans son état actuel, Roxame est un programme de taille modeste (environ 4000 lignes) écrit sous Windows avec Borland C++ Builder.

Il pourrait être souhaitable, pour constituer une communauté de développement en milieu universitaire, de le reprendre en C++ sous Linux, à condition de trouver un éditeur approprié.

Cette conversion n’est cependant peut-être pas indispensable. En effet une bonne partie du code de Roxame se compose de fonctions utilitaires, propres à son environnement. Les fonctions intéressantes sont du code C++ utilisant peu de classes particulières, et il pourrrait être aussi simple de les intégrer par couper-coller, avec les modifications nécessaires, dans des programmes écrits par chacun pour son environnemnet particulier.

Les fichiers acceptés et produits par Roxame sont des BMP. L’interfaçage se fait actuellemnet manuellemnet par un logiciel quelconque (Ulead Photo....) ou PaintBrush.

Roxame ne comporte pas non plus de routines d’impression (bien que cela soit sans doute relativemnet facile à faire avec l’outils de Borland), et on imprime à partir du logiciel d’éditions d’images. A cet occasion, on peut faire quelques ajustements pour tenir compte des caractéristiques du papier et de l’imprimante.

A ce niveau d’environnement, il faut avoir au moins

- les fonctions de lecture et d’écriture de fichiers sur disques

- la petite base de données

Les algorithmes

Roxame fonctionne à deux niveaux, qui pour l’instnat ne sont pas séparés de manière étanche, car il n’y a pas d’éditeur de scripts, et par conséquent toute modification des scripts oblige à une nouvelle compilation de l’ensemble.

- Scripts

Primitives. Ces fonctions sont des opérations appelées par les scripts. On peut les classer en :

. fonctions de service : fichiers, enchaînement, commandes au clavier

. fonctions proprement garphiques, classées en générateurs de lignes (ou formes creuses), formes pleines (surfaces), régions

Ces primitives sont paramétrées : taille

Concept d’emplacement et de région

Emplacement

Fait pour pouvoir combiner et associer plusieurs formes. On se positionne par rapport à cet emplacement, qui est modifié ou non.

Région

Ici, l’important est que la forme globale est découpée en régions, numérotées. La plupart des fonctiosn graphiques opérèent à l’intérieur d’une région.

La forme d’une région est quelconque. Cependant la plupart des fonctions ne s’y repèrent qu’en la considérant comme un rectangle.

Les formes générées peuvent êter ou non arr^tées aux frontières de la région.  (clip)

3.1.2. De la complexité à la puissance générative

 On pourrait définir une "puissance de Kolmogorov", inverse de sa complexité. Non pas "le texte minimum" pour obtenir un bitmap donné, mais la meilleure manière de tirer le maximum d'un bitmap, le moyen d'en obtenir la chaîne la plus longue possible (sans répétition, voir plus loin).

La plus belle image possible. Admiration pour la peinture détaillée (miniature). Admiration due en partie à l'adresse de l'artiste, mais aussi à son soin, sa minutie. "Il a représenta chaque poil de l'âne de la crêche). Impression que l'on aurait alors tout à fait l'âne lui-même.

3.1.3. Beau et L

L et la mort. (on est loin de l'art, quoique l'art fixe, soit une façon de nier la mort)

Si le système ne peut pas choisir la mort, alors sa liberté est limitée à un moment donné (H). Mais s'il peut choisir la mort, il réduit P, donc sa liberté. Pourrait-on, par un calcul, montrer sous quelles conditions, quantitatives, la possibilité du suicide est une augmentation finale de L.

Pour un enfant, au très grand potentiel futur et aux décisions incertaines, la possibilité du suicide est certainement très négative. Pour une personne âgée, P est faible de toutes façons même si H est grand, et le fait de pouvoir choisir le suicide est alors positif ?

En même temps, en cessant de mourir, perd L (? si la fonction P décrôit assez vite, on peut avoir L fini avec horizon de temps infini).

J'ai déjà parlé d'arbitrages entre L et P

O peut aussi faire intervenir autres valeurs : bonheur, ou valeurs externes (bien commun)

ou une sorte de L négatif (douleur). "On est mauvais"

fait plaisir à ceux qui la regardent (donc bon pour le P de ma fonction L, si le plaisir fait  vivre, mais aussi plaisir d'accroissement de H).

Relations avec coeur du système.

Plaisir parce que là une sorte de liberté", rotation autour du noyau binaire, jubilation d'une sorte d'apensanteur, d'indifférence (Platon),

opposé au beau sublime, au caractère dramatique, compulsif, de l'art (le jésuite).

Cette libre rotation est possible quand on a l'orthogonalité absolue, car alors il n'y a plus rien "le long" d'une dimension, pour raidir la liberté du système.

Et de là, de cette pureté orthogonale, on peut ré-amplifier, ré-anecdotiser, pour un spectateur donné.

3.2.3. Le hasard et les règles (les canons)

(Monod : hasard et nécessité)

Hasard sous contrôle. Lecourtier. Montseny sur les interphases (surfusions).

Différent pour interlocuteur humain et pour Roxame. Tirer un nombre au hasard ne la fatigue pas beaucoup. Lourd pour un humain;

Pour Roxame, peu importe où le hasard intervient, à l'intérieur d'un opérateur (h, v) ou à l'extérieur (mémoire brute, capteur).

Mais il sera plus beau et plus libre d'implémenter les règles sur des fonctions sans aléa et avec aléas expliciter extérieurement.

par exemple. cohérence entre palette et résolution

Pour l'opérateur humain, il serait fastidieux de donner tous les chiffres, donc il faut donner un moyen à Roxame de m'y assister.

On voit le double rôle de Roxame: partenaire mais aussi infrastrucure commune à une création humaine comme à une création autonome.

Rappelle les trucs de Valenciennes (thèse Mourad Abed)

Au delà du style

Plus généralement, au dessus d'une certaine valeur, la marge autorisée ne sert plus simplement à un "style", mais à l'expression de la personnalité de l'artiste. Ce qui permet de réfléchir aux différentes modalités du "réalisme", au moins pour toutes les images qui ont pour fonction de "représenter quelque chose".

3.2.5. Les différents arts

Le système des arts.

Roxame est une peintre.

Elle pourrait sans changement structurel  faire de la musique, de la scupture, de la performance.

La musique

Se pose ici la question du transfert de la dimension "temps" dans la surface 2D du peintre (on peut pousser la réflexion sur le 2D + t du cinéma, le 3D +T du cinéma en relief ou de la réalité virtuelle.

Problème simple au départ : comment transposer t dans 2D, avec différents solutions triviales, ou canoniques :

- le temps avance de la gauche vers la droite ; choix du texte en Occident, des partitions musicales

- autre axes : droite vers gauche (langes arabes), haut vers le bas (langues orientales)

- axe perpendiculaire : on s e suppose en perspective, et avancer dans le temps consiste à avancer vers l'horizon

- autres idées spirales

plus compliqué :

- découpage de l'espace 2D, par exemple en images successives (retables, mais surtout aulurd'hui la BD, après l'image d'Epinal)

- découpage plus subtils, flasbacks, inclusions, ... montage des fils dit Malraux, etc.

Plus élaboré : analyse hiérarchisée de niveaux dans le signal musical

- à la base l'amplitude fonction du temps

- analyse en fréquences : Fourier, ondelettes (à vérifier)

- échelles de fréquence : gammes

- combinaisons de fréquences : timbres

passage à une "ontologie"

- des générateurs acoustiques : instrument, canal midi

- paramètres généraux (tempo, tonalité, )

- règles de construction (harmonie/mélodie, contrepoint, types d'oeuvres)

De là comment on transpose ces paramètres en graphisme

- orchestre filmé : on conserve les acteurs, on pourrait avoir une représentation graphique des canaux midi

- Roxame avec régions  correspondant aux acteurs

- transfert de paramètres globaux : couleurs claires et saturées pour le gai, sombres et peu saturées pour le triste, etc.

plus lumineuses dans les forte

traduction à voir des paramèters en ton (hue)...

3.3.3. Roxame et le post-humanisme

3.3.1. L'art pré-humain

Fleurs, la pie, l'oiseaux chanteur, parades

Roxame et le réalisme

Roxame, c'est aussi une réflexion sur le vieux problème du réalisme en peinture, cette longue marche des primitifs à l'art contemporain, en pasant par les classiques (impressionnistes, cubistes, modernes en général).

Car Roxame peut parcourir tout l'espace qui sépare, ou mieux, que génèrent, comme deux axes cartésiens, la photographie et la construction abstraite.

J'ai commencé par le volet abstrait, avec des génératuers de formes et de couleurs de plus en plus sophistiqués. Couvrir toute la surfaace d'une couleur simple. Génrer des lignes, des rectabnels... étoffer la palette des couleurs, le jeu des mélanges additifs et soustractifs, allonger les séquences de génératino, découpe de l'espace en régions, travail différencié à l'intérieur de chaque région.. puis étoffer un langage de description des formes et de leurs combinaisons.

Le jeu devrait conduire à l'élaboration d'un modèle de l'ensemble des formes cnnues et à leur mise en oeuvre.

Vinci : le peintre devrait tout savoir.

Toujours en partant de là, le modèle pourrait s'intégrer une connaissance, toujours formellemnt exprimée, mais concrète, de l'univers tel qu'il "est", avec un système d'information géographique, un modèle numérique de terrain pour générer des paysages.. la plage d'Etretat, par exemple... un fichier anthropométrique des personnes associé à un modèle général du corps humain (sans compter les animaux, végétaux et minéraux).

Mais, toujours en partant de l'abstrait, Roxame pourrait chercher à modéliser ses émotions, en partant d'un fihcier qui décrirait sa "personnalit", préciserait ses états d'âme en fonction de la saison,de lheure, du jour de la semaine, voire (puisque c'est une feme), de son cycle mensturel, et finaliserait le tout en fonction d'événéments extgérieurs, que ce soit la météo locale, les informations du jour ou les attitudes de ses interlocuteurs.

En partant de l'autre versant, Roxame travaille à partir d'une photo. La photo numérique, facile à faire aujourd'hui avec un appareil ou un scanner. On peut commencer par de simples jeux sur le ton, la saturation la luminosité (trilogie HSV, hue, saturation, value).

Aller ensuite vers la pixellisation... et tout le jeu des "filtres" que proposent des logiciles comme Corel ou Photoshop.

roaxme sait aussi recadrer des photos, actuellement autour de zones ayant des caractéristueiques intéresantes (couleurs claires et saturées, par exemple).

Et mieux encore, elle transforme en "peignant", c'st àd ire en faisant des touches.

A partir d'un "certain moment", le résultat comence à etre perçu par le spectateur comme une peinture, et non plus comme une photo travaillée. A quel moment, justemnet ? C'est une des questions que Roxame pourrait permettre de préciser.

Au pasage j'ai le plaisir de retrouver des moments de ma propre existence de peintre. Par exemple, en faisant monter la saturation d'un paysage, apparaît très souvent, automatiquement, le violet cher aux aqurellistes traditionels. Ou bien, en pixellisant pas trop maladroitemnet, les effets des pointillistes, de Cross en particulier (si la saturation est forte).

Ainsi se dessine l'espace où Roxame pourrait choisir son style, ou la gamme de ses styles, où l'on pourrait décliner la famille étymologique du réalisme.

 

4. réalisations effectives, un artiste industriel

homme et machine

assistance/remplacement

peut toujours se décaler

Autres générateurs graphiques comparables

Autres logiciels générant des images à partir de texte, base de données

traitement de texte, Postscript, tableur même en fonction simple

générateur de partitions musicales

Kartoo, Umap

GUI en général (depuis le Parc)

Browsers

Cirad

Xe Parc (interfaces 3D por la bureautique)

Générateurs d'arbre généalogique

Certaines CAO (dispos chimiques de ... )

Présentateurs graphiques de programmes. ex. Cast et son Application Mining Suite (LMI 6/7/2001). Outils mathématiques (Mathematica, etc.). Outils statistiques.

Graphiques Excel. Graphes de Kiviat. Synoptiques dusine

Progammes de maths etc. montrant les formules

Analyse données, nuages à la Benzécri

Visualisation de capteurs au Cern. Cependant ici l'ontologie sous-jacene

Xan, Howard Cohen

Roxame Vs. un peintre humain. La concurrence

Concurrence, éléments quantitatifs.

Capacités respectives. Coûts. "Sens".

Relation de l'acheteur de peinture avec le peintre.

Relation art vs. nature

Avantage d'exécution rapide, répétition sans problème

Possibilité de précision, en particulier texte

Réactions de peintres humains à la Maison d'Art :

- si c'est de l'ordinateur, ce n'est pas de l'art

- vous allez tous nous mettre au chômage, avec votre robot

- Wahl : si c'est toi qui choisis parmi les oeuvres en sortie, alors c'est toujours de l'art (parallèle, réflexion de JP Bois sur un évaluateur des poèmes de Balpe)

Possibilité de calculs mathématiques complexes.

Morphismes.

Comme Roxame ne voit pas à proprement parler, et en plus est évaluée par des humains, elle sera toujours comme quelqu'un qui parle dans une langue autre que sa langue maternelle. Il court toujours le risque de laisser échapper le détail, le faux ami, qui gâche tout le reste.

Modèles :

- Humanisme. La machine est absente, ou secondaire. Nietsche, Hitler, Le surhomme o Darvin, le comunisme, les lendemains qui chantent. On progresse par l'élite (experts, et surtout saints, héros, corps d'élite) mais aussi par l'amélioration de la masse (hygiène, éducation)

- Rationalisme. Les machines sont plus présentes. Descartes, Lumières. Démocraties. On progresse en faisant de meilleures structures. Débouche éventuellement sur post-humanisme.

- Absence de perspectives. Renoncement, fermeture sur protection de l'environnement, le local, etc.

Moi je n'ai pas une position tellement volontaire , héroïque. Pour une part, je ne ne fais que décrire cette montée, d'y participer un peu (journalisme, Roxame), plutôt par plaisir que par devoir.

Pour que mes idées passent, faire des peinture qui émeuvent. En octobre 2001, j'ai déjà en partie réussi, au moins à plaire. Mais, à juillet 2002, je n'ai toujours pas réussi à vendre !

Roxame plaît en partiee en masquant leur origine informatique. Du beau papie à grain, profond, plutôt que glacé photo.

Paradoxe de Roxame : fabriquer un être pour qu'il devienne indépendant. Toujours le mythe de Pygmalion.

Pour un peintre humain aussi, le hasard joue, la dialectique hasard/contrôle

- ce qu'il voit (endroit, moment), soit par les hasards de l'existence, soit par un acte volontaire (voyage, travail dans un atelie, avec un modèel)

- ce qu'il ressent (états internes);

- aléas de l'exécution : maladreses, effets inattendus, grain du papier ou du bois

le peintre humain procède par tests successifs

Roxame pourrait aussi servir à comprendre les peintres, en proposant des analyses paramétriques de leur style,de leur processus de création.

Un peu comme l'archéologie expérimentale.

pPresque accessoirement Roxame pourrait servir à l'analyse du travail des peintres réles. Cherhant à imiter, à recréer, le travail de tel peinre (Mondrian, Van Gogh, .) ce serait fondamentalemnet un oyen, de le comprendre et de la caractériser, un eu comme l'archéologie expérimentale cherche à comprendre la vie des hommes préhistoriques en reconstituant leurs procédés.

5. Conclusion. Pour le plaisir

Laisser une oeuvre derrière soi. Non seulement par procréation physique, mais aussi "spirituelle"... N

Recréer le vertige de l'art (Nietsche) dans le travail de Roxame

formellement

une longue et passionnante quête

chercher l'art dans la difficulté même de construire les règles, incertitudes et contradicions

le placement, le calcul, l'interstice

formellement, la crainte née du vertige de la récursion. C'est pourquoi le texte est si important là dedans

et le programme comme texte

 

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The Y sharped process

L'arbitraire dans le processus en Y

En phase 1 (de photo vers schéma) : sélection de ce qui est intéressant

En phase 2 (d'aléa vers schéma) : sélection de ce qu'on génère

En phase 3 : le style au sens courant ; mise en touche, générateurs . Cette phase est analogue à l'interprétation d'un morceau par un instrumentiste

Le progrès dans le processus en Y, la sémantique

Il y a sémantique dès lors qu'il y a ontologie, et appel à cette ontologie à partir d'un langage.

dans Roxame

En 1.

meilleure détection de structures

faire une typologie de ces structures

reconnaisance, localisation d'objets

reconnaisance de symboles, textes

En présence d'une structure imparfaite en entrée, Si peut soit négliger l'imperfection, la nier (retouche, hyperréalisme) soit au contraire la prendre comme élement central, informatif, intéressant. Résonner sur la faille.

En 2.

expanseurs de base allant des bits vers le schéma

algorithmes, bitmaps

écriture à partir d'un langage (mes scripts), ensuite on peut faire de lar econnaisance sur l'aléatoir généré

En 1 comme en 1, faire faire progresser les techniques d'évaluation

véracité, harmonie, etc.

l'évaluation peut porter sur

- critères objectifs sur l'entrée (cohérence

- critères internes à S (il aime ou pas)

-critères propres à la sorteie : le client aime ou pas

Au coeur, faire monter l'ontologie : le jeu des termes, les relations entre eux.

En 3.

affiner

- la position

- le dessinde chaque touche

- les paramètres généraux

D'une certain façon, une oeuvre sera d'autant plus belle que la perte du schéma à l''oueuvre finale sera plus importante, mais que pour autant le spectateur pourra "sentir", la richesse cachéé, mais suggérée par l'oeuvre finale.

Contestation du processus en Y : la photo n'est qu'un cas particulier d'une arrivée "externe"

Par ailleurs il peut ya voir des bouclages, par exemple générer des formes aléatoires, mais ensuite fair de la reconnaissance dessus.